Menu
Search
Samedi 05 Octobre 2024
S'abonner
close
Samedi 05 Octobre 2024
Menu
Search

Un journal bulgare souligne l’importance de la proposition d’autonomie

No Image

Le journal bulgare «Chasa 24» a mis en exergue l’importance de la proposition d’autonomie en tant que solution unique au différend artificiel sur le Sahara marocain. Ainsi, le journal rapporte la déclaration de l’avocat à la Cour d’appel de Paris, Hubert Ceylan, qui a souligné que le Sahara est indiscutablement marocain malgré les manœuvres du «polisario», de son allié et son financier, l’Algérie, ajoutant que cette position s’ajoute aux opinions de nombreux analystes et observateurs internationaux qui défendent la marocanité du Sahara. M. Ceylan a également relevé le dynamisme suscité par l’ouverture par plusieurs pays africains de consulats généraux dans les provinces du sud du Royaume, précisant que l’Algérie, en mettant une partie de son territoire à la disposition du «polisario», confirme qu’elle est partie prenante à ce conflit artificiel. Selon le journal à large diffusion, M. Ceylan a, en outre, évoqué la situation dans les camps de Tindouf où des milliers de Sahraouis vivent dans de mauvaises conditions et sans un minimum de conditions pour une vie décente.

D’autre part, le journal rapporte les déclarations de l’ancienne vice-ministre de l’Intérieur et députée zambienne, Grace Njapau Efrati, qui a souligné que la proposition marocaine d’autonomie est la seule solution au différend régional sur le Sahara. La responsable politique a également indiqué que la proposition marocaine est le seul cadre qui répond aux critères du Conseil de sécurité des Nations unies pour parvenir à une solution politique réaliste et durable au conflit artificiel et contribuer à renforcer l’intégration africaine. Elle a souligné que, depuis l’année 2000, 65 États membres de l’Organisation des Nations unies ont retiré leur reconnaissance à cette entité fantomatique, ajoutant que le retour du Maroc au sein de l’Union africaine a donné à la famille africaine l’occasion de pousser cette question vers «une solution pacifique dans un esprit de consensus africain, de dialogue et de respect mutuel». n

Lisez nos e-Papers
Nous utilisons des cookies pour nous assurer que vous bénéficiez de la meilleure expérience sur notre site. En continuant, vous acceptez notre utilisation des cookies.