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L’ANP décroche un prêt de 1,1 milliard de DH auprès de l’AFD

Un nouvel appui financier pour 1,1 milliard de DH est consenti par l’Agence française de développement en faveur de l’Agence nationale des ports. L’accord de prêt a été signé hier.

L’ANP décroche un prêt de 1,1 milliard  de DH auprès de l’AFD
Cérémonie de signature de l’accord. De gauche à droite : Abdellatif Lhouaoui, directeur financier, ANP, Nadia Laraki, DG ANP, Hélène Le Gal, ambassadrice de France au Maroc, et Mihoub Mezouaghi, directeur AFD au Maroc.

L’Agence française de développement (AFD) apporte un nouveau concours financier et technique au secteur portuaire marocain. Elle a, en effet, signé hier, avec l’Agence nationale des ports (ANP), un accord de prêt de 1,1 milliard de DH (100 millions d’euros), associé à une subvention d’assistance technique de 8,7 millions de DH (800.000 euros). Et ce en présence de l’ambassadrice de la France au Maroc, Hélène Le Gal. Ce nouvel appui financier et technique permettra, selon un communiqué conjoint de l’Ambassade, l’AFD et l’ANP, d’améliorer la compétitivité des ports gérés par cette dernière, d’accroître leur résilience face aux effets du changement climatique et de renforcer leur intégration urbaine. «Le Maroc et la France sont toutes deux des économies de la mer, et notre coopération dans les domaines portuaire et maritime en est d’autant plus évidente à la fois pour renforcer notre ancrage commercial mais aussi pour allier nos efforts en vue de promouvoir une économie bleue, performante et soucieuse d’un développement durable», a déclaré Hélène Le Gal. Lors de cette signature, Nadia Laraki, directrice générale de l’ANP, a rappelé le programme d’investissement 2018-2024 qui «permettra de consolider le développement et la modernisation du tissu portuaire afin de stimuler l’impact socio-économique des espaces portuaires sur leurs hinterlands». Ce programme a également pour ambition d’«élever la résilience des infrastructures portuaires et leur adaptation au changement climatique à travers, notamment le confortement d’ouvrages et la protection des infrastructures portuaires face à la montée du niveau de la mer, la mise en place d’un dispositif de bilan carbone pour améliorer l’efficacité énergétique et de prévention de la pollution marine pour préserver la biodiversité du milieu aquatique», détaille, pour sa part, Mihoub Mezouaghi, directeur de l’AFD au Maroc. 

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