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Samira Faraji offre «Ana Bnou Al Watan»

Encore une fois, la poétesse Samira Faraji nous émerveille avec sa poésie, en lançant «Ana Bnou Al Watan» (Je suis le fils de la patrie). Une thématique d’actualité que le compositeur Azzeddine Mountassir n’a pas manqué d’habiller d’une belle mélodie, chantée par Fouad Tarab et Hajar Abbass, et ce sur des arrangements de Younes El Khazzane.

Samira Faraji offre «Ana Bnou Al Watan»
Samira Faraji et Fouad Tarab.

Cette fois-ci, ce sont tous ceux évoluant au premier rang, pour lutter contre la propagation du coronavirus, qui ont interpellé la poétesse Samira Faraji et lui ont insufflé les mots qu’il faut pour évoquer les femmes et les hommes du Maroc. Ce pays dont l’histoire connaît bien ses enfants, leur courage, leur abnégation, leur solidarité dans les pires moments. Samira a rappelé tout cela avec des mots subtils, profonds et pleins de sens. Un beau cadeau que Samira offre à tous ces gens qui luttent quotidiennement pour sauver des vies et pour arrêter la diffusion de ce dangereux virus.

À travers sa poésie, Faraji salue les soldats de la santé, les autorités, la police, les militaires…  avec beaucoup de respect, car ils tissent, chaque jour, des scènes de sacrifice, de dévouement et d’altruisme. Ils accomplissent leur devoir de la plus humble et noble manière pour le bien-être de notre patrie bien-aimée, le Maroc de la gloire et de la bienveillance. D’où une chanson pleine de patriotisme qui chante la résistance du Marocain et sa lutte pour l’union de son pays, toujours comme un seul homme, fier et digne, pour défendre sa sécurité.

Rappelons que cette chanson constitue la deuxième collaboration de Samira Faraji avec le chanteur Fouad Tarab et le compositeur Azzeddine Mountassir, et ce après le titre «Limada» (Pourquoi). Sans oublier que la poésie de Samira a attiré d’autres chanteurs et compositeurs, notamment l’artiste libanaise Ghada Shbeir qui a chanté, en 2017, sa poésie «Wahdak» (Seul), puis le célèbre chantre tunisien, Lotfi Bouchnak, qui a été séduit par trois textes de Samira faisant, faisant l’éloge de trois pays, le Maroc, le Liban et le Soudan. Tous ces artistes ont trouvé dans la poésie de Samira Faraji la force qu’ils cherchent toujours dans les textes pour offrir des chansons immortelles touchant tous les citoyens du monde.

En effet, les vers de Faraji montrent la qualité du choix de ses mots, la force de son expression, la beauté de sa représentation et la douceur de son rythme, prouvant, encore une fois, que la poésie marocaine conserve toujours ses lettres de noblesses grâce à ses génies créateurs. C’est le cas de Samira Faraji, cette perle rare dans l’univers de la poésie classique de notre temps, sachant que tous ses recueils sont accueillis avec beaucoup d’admiration et de respect. Douée dans la créativité de poèmes de composante verticale, elle fut surnommée par le docteur Abbas El Jirari «La Planète qui illumine notre Ciel». Le diplomate et homme de lettres yéménite, le docteur Abdelwali Chmiri, fut subjugué par ses poésies en disant : «Vous êtes parvenu à une étendue qui n’a pas été atteinte par Kaïs et Laila et bien d’autres. J’avoue qu’avec vos poèmes, vous avez atteint le trône de la princesse couronnée pour le poème éloquent, mesuré, rimé et simple». Une reconnaissance qui honore le Maroc qui a donné naissance à cette source de mots qui ne tarit pas. 

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