Dans son atelier discret de Sidi Ghanem, transformé en laboratoire du goût, Lechâtellier compose avec des produits locaux – huile d’argan, fruits d’Inezgane, épices de l’Atlas – qu’il assemble dans des recettes inattendues.
Son approche ? Travailler uniquement des matières premières nobles, issues d’un réseau de producteurs locaux soigneusement sélectionnés pour leur engagement en faveur de la qualité et de l’authenticité. On y découvre un sorbet tomates-poivrons-framboises, ou encore une glace au couscous berbère, relevée d’un coulis de raisins et d’oignons façon «Tfaya», parsemée d’un topping de semoule.
Formé en Italie, passé par Agadir avant de poser ses valises à Marrakech, le glacier développe depuis plus de vingt ans une démarche singulière, presque militante : faire de la glace un médium de transmission culturelle. «Marrakech a été un véritable coup de cœur. J’y ai trouvé une source d’inspiration inépuisable, un terroir d’une richesse rare et une culture gastronomique généreuse. J’ai voulu créer une passerelle entre mes racines européennes et les saveurs marocaines, en respectant les produits, les saisons et les traditions», confie-t-il. Pour Morgan, la glace est un langage universel, mais elle peut porter une identité, un paysage, une mémoire.
Plus de cinquante créations composent aujourd’hui sa palette, conçue au rythme des saisons et des récoltes. À chaque cuillerée, une histoire. À chaque dégustation, une invitation à voir – et goûter – autrement. À une époque où la frontière entre art, artisanat et gastronomie devient plus poreuse, la démarche de Morgan Lechâtellier s’inscrit dans un mouvement de fond : celui d’un regard neuf porté sur les savoir-faire, les traditions et leur possible réinvention.
Son approche ? Travailler uniquement des matières premières nobles, issues d’un réseau de producteurs locaux soigneusement sélectionnés pour leur engagement en faveur de la qualité et de l’authenticité. On y découvre un sorbet tomates-poivrons-framboises, ou encore une glace au couscous berbère, relevée d’un coulis de raisins et d’oignons façon «Tfaya», parsemée d’un topping de semoule.
Formé en Italie, passé par Agadir avant de poser ses valises à Marrakech, le glacier développe depuis plus de vingt ans une démarche singulière, presque militante : faire de la glace un médium de transmission culturelle. «Marrakech a été un véritable coup de cœur. J’y ai trouvé une source d’inspiration inépuisable, un terroir d’une richesse rare et une culture gastronomique généreuse. J’ai voulu créer une passerelle entre mes racines européennes et les saveurs marocaines, en respectant les produits, les saisons et les traditions», confie-t-il. Pour Morgan, la glace est un langage universel, mais elle peut porter une identité, un paysage, une mémoire.
Plus de cinquante créations composent aujourd’hui sa palette, conçue au rythme des saisons et des récoltes. À chaque cuillerée, une histoire. À chaque dégustation, une invitation à voir – et goûter – autrement. À une époque où la frontière entre art, artisanat et gastronomie devient plus poreuse, la démarche de Morgan Lechâtellier s’inscrit dans un mouvement de fond : celui d’un regard neuf porté sur les savoir-faire, les traditions et leur possible réinvention.