Lors d'un séminaire organisé par la Chambre allemande de commerce et d'industrie au Maroc (DIHK), en collaboration avec la Fondation Friedrich Naumann, sous le thème comment faciliter les investissements au Maroc, les participants ont été unanimes à souligner qu'ils attendent du gouvernement à fixer des règles claires pour l'investissement dans des secteurs définis.
Nous voulons des signaux forts dans des délais précis et une approche adéquate pour développer les petites et moyennes entreprises qui constituent la trame de l'économie marocaine, constatant à cet égard que le processus de l'investissement au Maroc n'est pas suffisamment clair dans l'esprit des investisseurs notamment étrangers.
Les entrepreneurs allemands ne veulent plus de séminaires, mais veulent les traduire dans la réalité concrète, et voir leurs problèmes administratifs réglés , ont estimé les séminaristes avant d'ajouter qu'ils n'ont plus le temps ni la patience d'attendre encore .
Ils veulent plus de démocratie et de transparence dans les processus de passation des marchés et de changement des attitudes administratives, a affirmé à son tour le nouveau directeur de la DIHK, M. Jorn Bousselmi. Les investisseurs allemands ne cessent de se trouver souvent confrontés à des problèmes bureaucratiques compliqués par une centralisation qui a fait son temps, a-t-il souligné notant toutefois que cette manifestation ne constitue pas un espace de critique pour la critique , mais une contribution à faire bouger les choses afin de trouver des solutions concrètes pour des problèmes concrets .
Critère
Le conseiller économique à l'ambassade allemande à Rabat a estimé, quant à lui, que l'instauration d'un système administratif basé sur le critère de compétence accélérera sans aucun doute le passage de la phase préparatoire des investissements à la mise au point des projets concrets. Les investisseurs allemands veulent une garantie et des décisions visibles , a-t-il dit expliquant que les sociétés allemandes sont là pour contribuer à dynamiser l'économie marocaine. Nous constatons malheureusement que quelques sociétés, opérant dans le secteur de textile à Tanger, se trouvent actuellement au bord de la faillite , a-t-il ajouté. Après avoir écouté ces témoignages, les opérateurs économiques ont appelé les responsables marocains à revoir les normes de compétence et à conditionner et réglementer le travail .
En réponse à ces doléances, les représentants du ministère chargé des Affaires générales du gouvernement, de la Direction des investissements extérieurs (DIE) et des Centres des formations d'entreprise (CFE) ont souligné que le Maroc est sur le point d'achever les grands chapitres de sa charté 110nale de l'investissement, indiquant que plusieurs dossiers ont déjà été étudiés et traités.
Nous voulons des signaux forts dans des délais précis et une approche adéquate pour développer les petites et moyennes entreprises qui constituent la trame de l'économie marocaine, constatant à cet égard que le processus de l'investissement au Maroc n'est pas suffisamment clair dans l'esprit des investisseurs notamment étrangers.
Les entrepreneurs allemands ne veulent plus de séminaires, mais veulent les traduire dans la réalité concrète, et voir leurs problèmes administratifs réglés , ont estimé les séminaristes avant d'ajouter qu'ils n'ont plus le temps ni la patience d'attendre encore .
Ils veulent plus de démocratie et de transparence dans les processus de passation des marchés et de changement des attitudes administratives, a affirmé à son tour le nouveau directeur de la DIHK, M. Jorn Bousselmi. Les investisseurs allemands ne cessent de se trouver souvent confrontés à des problèmes bureaucratiques compliqués par une centralisation qui a fait son temps, a-t-il souligné notant toutefois que cette manifestation ne constitue pas un espace de critique pour la critique , mais une contribution à faire bouger les choses afin de trouver des solutions concrètes pour des problèmes concrets .
Critère
Le conseiller économique à l'ambassade allemande à Rabat a estimé, quant à lui, que l'instauration d'un système administratif basé sur le critère de compétence accélérera sans aucun doute le passage de la phase préparatoire des investissements à la mise au point des projets concrets. Les investisseurs allemands veulent une garantie et des décisions visibles , a-t-il dit expliquant que les sociétés allemandes sont là pour contribuer à dynamiser l'économie marocaine. Nous constatons malheureusement que quelques sociétés, opérant dans le secteur de textile à Tanger, se trouvent actuellement au bord de la faillite , a-t-il ajouté. Après avoir écouté ces témoignages, les opérateurs économiques ont appelé les responsables marocains à revoir les normes de compétence et à conditionner et réglementer le travail .
En réponse à ces doléances, les représentants du ministère chargé des Affaires générales du gouvernement, de la Direction des investissements extérieurs (DIE) et des Centres des formations d'entreprise (CFE) ont souligné que le Maroc est sur le point d'achever les grands chapitres de sa charté 110nale de l'investissement, indiquant que plusieurs dossiers ont déjà été étudiés et traités.
