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Le point victorieux du Maroc a été apporté par Younès El Aynaoui, vainqueur dimanche soir dans le dernier et décisif match, de Christophe Rochus en trois sets à un : 6-3, 6-4, 5-7, 7-6 (7-4).
Le Maroc avait pris une belle option lors de la première journée, vendredi, en menant par deux victoires à zéro. Hicham Arazi avait disposé d'Olivier Rochus en cinq set (2-6, 6-3, 6-1, 5-7, 6-3), alors que Younès El Aynaoui avait mis à genoux Xavier Malisse en trois sets (6-3, 6-4, 6-4).
Les Marocains n'avaient alors besoin que d'une seule victoire sur les trois rencontres restant, mais les Belges se sont ressaisis en remportant le doublé, samedi, après la victoire de Christophe Rochus et Tom Van Houdt face à Karim Alami et Younès El Aynaoui en cinq sets (6-3, 6-2, 3-6, 5-7, 6-2), et de Xavier Malisse face à Hicham Arazi en trois sets à un (4-6, 7-6, 7-5, 6-4), dans l'avant-dernier simple, dimanche après-midi. El Aynaoui a eu alors le privilège d'assurer au Maroc le maintien dans le groupe mondial, même si sa victoire n'était pas de tout repos face à Xavier Malisse, numéro un du tennis belge.
Emotion et soulagement
Le Maroc s'était qualifié pour le groupe mondial pour la première fois dans son histoire en avril dernier, après sa victoire sur tapis vert en match de barrage face au Chili qui a été interdit d'abriter des rencontres de Coupe Davis, y compris le barrage Chili-Maroc.
Le Chili a été sanctionné suite aux incidents qui avaient émaillé son match contre l'Argentine à Santiago, le 7 avril 2001, comptant pour le deuxième tour du groupe I de la zone américaine. L'émotion était à son summum, dimanche soir à Liège, au terme du match barrage de Coupe Davis Belgique-Maroc que les tennismen marocains ont finalement remporté par trois victoires à deux.
Les nerfs des Marocains avaient été, en effet, mis à rude épreuve après l'égalisation réalisée par la Belgique (2 victoires à 2) suite à la défaite de Hicham Arazi, dans l'avant dernière rencontre, face au numéro un belge Xavier Malisse. C'est donc un grand “ouf” de soulagement que les Marocains, joueurs, staff accompagnateur, officiels et spectateurs, ont poussé après la victoire décisive de Younès El Aynaoui, qui avait à gérer toute la tension induite par un tel match. Cela fait beaucoup de bonheur, on s'est battu, on a une bonne organisation et on mérite notre victoire, a déclaré à l'agence MAP El Aynaoui qui, flanqué du drapeau 110nal, a été porté en triomphe au terme de la rencontre. El Aynaoui, qui avait déjà deux rencontres dans les jambes (un simple vendredi et le doublé avec Karim Alami samedi), a affirmé que les aléas du 114 l'avaient placé dans une situation difficile après l'égalisation des Belges. il a fallu que je me re-concentre, que j'entre de nouveau dans la compétition, a indiqué El Aynaoui précisant qu'après les deux premiers sets victorieux, il avait toutes les chances de prendre le large au terme du set suivant face à Christophe Rochus. Ce ne fut malheureusement pas le cas.
Gagner au tie-break au 4ème set, cela fait encore plus de suspens et procure une immense joie, a ajouté le tennisman marocain, la gorge encore nouée par l'émotion. D'émotion, M. Mohamed Mjid, le président de la Fédération Royale Marocaine de Tennis, a également parlé. Livrant ses impressions à l'agence MAP, il a indiqué que lors des cinq rencontres disputées depuis vendredi dernier, il y avait aussi beaucoup de tension, beaucoup de surprises, beaucoup de retournements de situation. Nous avons eu à un certain moment sérieusement peur, mais nous n'avons jamais perdu confiance, a souligné M. Mjid qui s'est réjoui que le meilleur ait finalement gagné.
Outre les spectateurs marocains venus nombreux encourager l'équipe du Maroc, officiels marocains et belges étaient également de la fête, notamment l'ambassadeur du Maroc, M. Mustapha Salahdine, les responsables consulaires, le ministre fédéral belge des Finances, M. Didier Reyneders, le ministre wallon de l'Environnement et le gouverneur de Liège.
Le Maroc avait pris une belle option lors de la première journée, vendredi, en menant par deux victoires à zéro. Hicham Arazi avait disposé d'Olivier Rochus en cinq set (2-6, 6-3, 6-1, 5-7, 6-3), alors que Younès El Aynaoui avait mis à genoux Xavier Malisse en trois sets (6-3, 6-4, 6-4).
Les Marocains n'avaient alors besoin que d'une seule victoire sur les trois rencontres restant, mais les Belges se sont ressaisis en remportant le doublé, samedi, après la victoire de Christophe Rochus et Tom Van Houdt face à Karim Alami et Younès El Aynaoui en cinq sets (6-3, 6-2, 3-6, 5-7, 6-2), et de Xavier Malisse face à Hicham Arazi en trois sets à un (4-6, 7-6, 7-5, 6-4), dans l'avant-dernier simple, dimanche après-midi. El Aynaoui a eu alors le privilège d'assurer au Maroc le maintien dans le groupe mondial, même si sa victoire n'était pas de tout repos face à Xavier Malisse, numéro un du tennis belge.
Emotion et soulagement
Le Maroc s'était qualifié pour le groupe mondial pour la première fois dans son histoire en avril dernier, après sa victoire sur tapis vert en match de barrage face au Chili qui a été interdit d'abriter des rencontres de Coupe Davis, y compris le barrage Chili-Maroc.
Le Chili a été sanctionné suite aux incidents qui avaient émaillé son match contre l'Argentine à Santiago, le 7 avril 2001, comptant pour le deuxième tour du groupe I de la zone américaine. L'émotion était à son summum, dimanche soir à Liège, au terme du match barrage de Coupe Davis Belgique-Maroc que les tennismen marocains ont finalement remporté par trois victoires à deux.
Les nerfs des Marocains avaient été, en effet, mis à rude épreuve après l'égalisation réalisée par la Belgique (2 victoires à 2) suite à la défaite de Hicham Arazi, dans l'avant dernière rencontre, face au numéro un belge Xavier Malisse. C'est donc un grand “ouf” de soulagement que les Marocains, joueurs, staff accompagnateur, officiels et spectateurs, ont poussé après la victoire décisive de Younès El Aynaoui, qui avait à gérer toute la tension induite par un tel match. Cela fait beaucoup de bonheur, on s'est battu, on a une bonne organisation et on mérite notre victoire, a déclaré à l'agence MAP El Aynaoui qui, flanqué du drapeau 110nal, a été porté en triomphe au terme de la rencontre. El Aynaoui, qui avait déjà deux rencontres dans les jambes (un simple vendredi et le doublé avec Karim Alami samedi), a affirmé que les aléas du 114 l'avaient placé dans une situation difficile après l'égalisation des Belges. il a fallu que je me re-concentre, que j'entre de nouveau dans la compétition, a indiqué El Aynaoui précisant qu'après les deux premiers sets victorieux, il avait toutes les chances de prendre le large au terme du set suivant face à Christophe Rochus. Ce ne fut malheureusement pas le cas.
Gagner au tie-break au 4ème set, cela fait encore plus de suspens et procure une immense joie, a ajouté le tennisman marocain, la gorge encore nouée par l'émotion. D'émotion, M. Mohamed Mjid, le président de la Fédération Royale Marocaine de Tennis, a également parlé. Livrant ses impressions à l'agence MAP, il a indiqué que lors des cinq rencontres disputées depuis vendredi dernier, il y avait aussi beaucoup de tension, beaucoup de surprises, beaucoup de retournements de situation. Nous avons eu à un certain moment sérieusement peur, mais nous n'avons jamais perdu confiance, a souligné M. Mjid qui s'est réjoui que le meilleur ait finalement gagné.
Outre les spectateurs marocains venus nombreux encourager l'équipe du Maroc, officiels marocains et belges étaient également de la fête, notamment l'ambassadeur du Maroc, M. Mustapha Salahdine, les responsables consulaires, le ministre fédéral belge des Finances, M. Didier Reyneders, le ministre wallon de l'Environnement et le gouverneur de Liège.
