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Organisé par l'Association Fès-Saïss, ce colloque sera axé notamment sur trois ateliers: infrastructures et outils d'observation et d'analyse des changements climatiques, les différents impacts de la sécheresse et choix et stratégies de lutte contre la sécheresse.
Le programme prévoit l'organisation de stands d'exposition des nouvelles technologies en matière de lutte contre la sécheresse concernant l'irrigation, la micro-irrigation, les précipitations artificielles, la réutilisation des eaux usées dans l'agriculture, génie génétique, la production et gestion de l'eau potable, et les méthodes de sensibilisation à l'économie d'eau.
Selon une note de présentation de la commission d'organisation, la sécheresse qui sévit actuellement au Maroc soulève plusieurs questions relatives à sa fréquence, son intensité et à son impact.
Evoquant le caractère cyclique, le document précise que douze périodes de sécheresses généralisées sont dénombrées entre 1896 et 2000 (soit une moyenne d'une année de sécheresse tous les neuf ans) signalant, entre autre, une diminution significative de l'écart de 9 ans entre pics de sécheresses à partir des années 1980, qui passe à moins de 4 ans.
Ces observations, précise le document, concernent principalement le 1/3 de la superficie du Maroc (710.850 km2), puisque les 2/3 restants appartiennent déjà au domaine aride et semi-aride ou la sécheresse est structurelle et les pratiques agro-pastorales et les activités économiques sont adaptées au manque d'eau et à la fréquence du phénomène (khettara, khdir, matfia…).
Le programme prévoit l'organisation de stands d'exposition des nouvelles technologies en matière de lutte contre la sécheresse concernant l'irrigation, la micro-irrigation, les précipitations artificielles, la réutilisation des eaux usées dans l'agriculture, génie génétique, la production et gestion de l'eau potable, et les méthodes de sensibilisation à l'économie d'eau.
Selon une note de présentation de la commission d'organisation, la sécheresse qui sévit actuellement au Maroc soulève plusieurs questions relatives à sa fréquence, son intensité et à son impact.
Evoquant le caractère cyclique, le document précise que douze périodes de sécheresses généralisées sont dénombrées entre 1896 et 2000 (soit une moyenne d'une année de sécheresse tous les neuf ans) signalant, entre autre, une diminution significative de l'écart de 9 ans entre pics de sécheresses à partir des années 1980, qui passe à moins de 4 ans.
Ces observations, précise le document, concernent principalement le 1/3 de la superficie du Maroc (710.850 km2), puisque les 2/3 restants appartiennent déjà au domaine aride et semi-aride ou la sécheresse est structurelle et les pratiques agro-pastorales et les activités économiques sont adaptées au manque d'eau et à la fréquence du phénomène (khettara, khdir, matfia…).
