La commission via son président Ali Arazam et les clubs à l'unanimité ne veulent plus entendre parler de cette situation quelle que soit son origine, ni ses objectifs.
La commission chargée des affaires de la Fédération Royale Marocaine du Cyclisme ne semble pas très enthousiaste quant à la poursuite de son mandat. Le président de la commission se plaint d'abord de l'incompréhension de la famille du cyclisme, de l'ingratitude qui y règne puis du fait que toutes les promesses qui lui ont été faites par le CNOM, surtout, n'ont pas été respectées . Le dernier président de la FRMC aurait eu des promesses de certains ministères et de certains offices pour mettre sur pied le dernier Tour du Maroc sous son mandat. Mais une fois que le Tour eût était lancé que ministères, offices et administrations partenaires se sont «désistés» et se sont contentés de regarder le président se «noyer». D'où des dettes qui se sont accumulées, des engagements non honorés et des créanciers de tout bord réclamant leur dû.
Le président de la commission provisoire ne se trouvant pas dans la même situation mais se plaignant, tout de même, que des promesses qui lui ont été faites ne se semblent pas près de se concrétiser. D'où des doléances qui lui parviennent de toutes parts et auxquelles «je ne peux pas faire face» nous assure-t-il. Les clubs ont tellement raz-le-bol de cette situation qu'ils en ont, presque, oublié leurs sempiternelles querelles. Ils affirment à qui veut les entendre que d'ores et déjà le président importe peu du moment qu'il sera en mesure de mettre fin à cette situation anachronique. Et puis après ils pourront voir venir.
Cependant cette volonté de voir la commission rendre les clés et faire place nette est une arme à double tranchant. Car si les clubs n'assument pas leurs responsabilités la discipline est vouée à une mort certaine. Aux différents présidents de démontrer leur degré de matûrité et de sauver ce qui peut l'être d'une discipline qui n'a que trop souffert des querelles intestines et des convoitises qui l'ont amenée là oû elle gît aujourd'hui.
La commission chargée des affaires de la Fédération Royale Marocaine du Cyclisme ne semble pas très enthousiaste quant à la poursuite de son mandat. Le président de la commission se plaint d'abord de l'incompréhension de la famille du cyclisme, de l'ingratitude qui y règne puis du fait que toutes les promesses qui lui ont été faites par le CNOM, surtout, n'ont pas été respectées . Le dernier président de la FRMC aurait eu des promesses de certains ministères et de certains offices pour mettre sur pied le dernier Tour du Maroc sous son mandat. Mais une fois que le Tour eût était lancé que ministères, offices et administrations partenaires se sont «désistés» et se sont contentés de regarder le président se «noyer». D'où des dettes qui se sont accumulées, des engagements non honorés et des créanciers de tout bord réclamant leur dû.
Le président de la commission provisoire ne se trouvant pas dans la même situation mais se plaignant, tout de même, que des promesses qui lui ont été faites ne se semblent pas près de se concrétiser. D'où des doléances qui lui parviennent de toutes parts et auxquelles «je ne peux pas faire face» nous assure-t-il. Les clubs ont tellement raz-le-bol de cette situation qu'ils en ont, presque, oublié leurs sempiternelles querelles. Ils affirment à qui veut les entendre que d'ores et déjà le président importe peu du moment qu'il sera en mesure de mettre fin à cette situation anachronique. Et puis après ils pourront voir venir.
Cependant cette volonté de voir la commission rendre les clés et faire place nette est une arme à double tranchant. Car si les clubs n'assument pas leurs responsabilités la discipline est vouée à une mort certaine. Aux différents présidents de démontrer leur degré de matûrité et de sauver ce qui peut l'être d'une discipline qui n'a que trop souffert des querelles intestines et des convoitises qui l'ont amenée là oû elle gît aujourd'hui.
