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Première d'une série de structures, basée sur une organisation et des infrastructures normalisées garantissant la salubrité et la qualité des produits de la mer, le projet de Nador qui s'étale sur une aire de 3100 m2, s'inscrit dans le cadre du plan quinquennal 2000-2004 visant à doter les ports de Tanger, Tan-Tan et Dakhla des mêmes unités. Ces projets nécessiteront, est-il signalé, un investissement complémentaire global de 70 millions de dirhams. Pour chaque unité et en fonction de la nature des produits commercialisés, les unités comprendront une salle de vente, une chambre froide, un sas d'entrée et de pesée, un atelier collectif pour les petits acheteurs, des locaux administratifs, des stalles pour mareyeurs et un comptoir d'agéage du poisson industriel .
Accroître les performances du secteur
En fait, bien des objectifs sont escomptés par le biais de la concrétisation de ces noulles halles. Selon l'ONP, il s'agit ainsi d'accroître les performances des unités productives du secteur, de satisfaire le client à travers un service de qualité, d'assurer la fluidité et la transparence des transactions commerciales et par richochet, d'impliquer les professionnels dans la gestion et l'exploitation des halles. Au demeurant, c'est cette gestion associée qui attire l'attention , ence sens qu'il est prévu dans ce cadre la mise en place d'un «Conseil consultatif d'exploitation» regroupant les acteurs des différentes catégories professionnells. Des synergies pour que les uns et les autres puissent adopter des recommandations ayant trait à l'organisation commerciale interne à la halle, des débarquements et à la régulation des apports ( accords pour limiter les apports et contrôle de qualité). Par ces nouvelles infrastructures, on compte ainsi réussir les enjeux de la compétitivité. C'est qu'avec la nécessaire valorisation des produits de la mer et son corrolaire la création d'une plus grande valeur ajoutée, l'incontournable maintien des parts de marchés à l'export et de conquête de nouveaux débouchés, les halles au poisson, dernier cri, constitue un véritable barycentre de toute la filière en ce sens qu'elle est un point de rencontre entre vendeurs et acheteurs, entre armateurs et mareyeurs. C'est en effet le lieu de la première vente où se croisent les intérêts des différents opérateurs du secteur d'où l'intérêt particulier de tenir compte des exigences sanitaires et d'hygiène et de satifaire les attentes des uns et des autres en terme de rapidité et fiabilité des opérations commerciales et de la qualité des services ainsi offerts.
Principe de la marche en avant
Aussi et concernant la halle au poisson de Nador, a-t-on veillé au grain pour réunir l'ensemble de ces conditions. S'articulant autour de la mise en place d'un plateau technique et de circuit de mise en vente, cette infrastructure est une surface libre dans laquelle le circuit des produits obéït au «principe de la marche en avant». Autre particularité: les opérations de la criée seront informatisées au fur et à mesure d'une maîtrise d'outils appropiés. Rappelons aussi que le circuit des opérations commerciales est actuellement régie par le système d'information baptisé « Maïa» permettant d'assurer la traçabilité du produit, la précision sur les quantités et les valeurs de vente, la transparence des transactions, la rapidité des réglements et surtout la fiabilité des statistiques. Un système, est-il indiqué, appelé à connaître une généralisation pour couvrir l'ensemble des halles du Royaume d'ici la fin de cet exercice.
L'inauguration de la halle aux poissons prévue pour vendredi prochain sera également l'occasion de présenter le plan d'action élaboré par l'ONP visant la généralisation du projet à tous les ports du Maroc dans un délai n'excédant pas 12 mois et prévoyant un appui financier de 16 millions de dirhams pour l'acquisition des parcs de caisses.
Accroître les performances du secteur
En fait, bien des objectifs sont escomptés par le biais de la concrétisation de ces noulles halles. Selon l'ONP, il s'agit ainsi d'accroître les performances des unités productives du secteur, de satisfaire le client à travers un service de qualité, d'assurer la fluidité et la transparence des transactions commerciales et par richochet, d'impliquer les professionnels dans la gestion et l'exploitation des halles. Au demeurant, c'est cette gestion associée qui attire l'attention , ence sens qu'il est prévu dans ce cadre la mise en place d'un «Conseil consultatif d'exploitation» regroupant les acteurs des différentes catégories professionnells. Des synergies pour que les uns et les autres puissent adopter des recommandations ayant trait à l'organisation commerciale interne à la halle, des débarquements et à la régulation des apports ( accords pour limiter les apports et contrôle de qualité). Par ces nouvelles infrastructures, on compte ainsi réussir les enjeux de la compétitivité. C'est qu'avec la nécessaire valorisation des produits de la mer et son corrolaire la création d'une plus grande valeur ajoutée, l'incontournable maintien des parts de marchés à l'export et de conquête de nouveaux débouchés, les halles au poisson, dernier cri, constitue un véritable barycentre de toute la filière en ce sens qu'elle est un point de rencontre entre vendeurs et acheteurs, entre armateurs et mareyeurs. C'est en effet le lieu de la première vente où se croisent les intérêts des différents opérateurs du secteur d'où l'intérêt particulier de tenir compte des exigences sanitaires et d'hygiène et de satifaire les attentes des uns et des autres en terme de rapidité et fiabilité des opérations commerciales et de la qualité des services ainsi offerts.
Principe de la marche en avant
Aussi et concernant la halle au poisson de Nador, a-t-on veillé au grain pour réunir l'ensemble de ces conditions. S'articulant autour de la mise en place d'un plateau technique et de circuit de mise en vente, cette infrastructure est une surface libre dans laquelle le circuit des produits obéït au «principe de la marche en avant». Autre particularité: les opérations de la criée seront informatisées au fur et à mesure d'une maîtrise d'outils appropiés. Rappelons aussi que le circuit des opérations commerciales est actuellement régie par le système d'information baptisé « Maïa» permettant d'assurer la traçabilité du produit, la précision sur les quantités et les valeurs de vente, la transparence des transactions, la rapidité des réglements et surtout la fiabilité des statistiques. Un système, est-il indiqué, appelé à connaître une généralisation pour couvrir l'ensemble des halles du Royaume d'ici la fin de cet exercice.
L'inauguration de la halle aux poissons prévue pour vendredi prochain sera également l'occasion de présenter le plan d'action élaboré par l'ONP visant la généralisation du projet à tous les ports du Maroc dans un délai n'excédant pas 12 mois et prévoyant un appui financier de 16 millions de dirhams pour l'acquisition des parcs de caisses.
