Connexion
Ce genre d'attaque vise à limiter le transfert de données sur ces sites, a expliqué la porte-parole du CCB, Katrien Eggers, ajoutant que le Centre ne peut encore déterminer l'auteur de la cyberattaque.
"Il est toujours très difficile de prouver l'origine d'une attaque en cybersécurité", a-t-elle précisé, affirmant que les sites touchés, dont ceux du ministère fédéral des Finances, de la chancellerie du Premier ministre ou encore du Sénat, sont bien protégés et que des mesures sont déjà prises, même si des leçons seront certainement tirées à la suite de ces événements.
Une attaque du même type avait déjà été menée, jeudi dernier, contre des sites de services publics belges, mais avec une "méthode différente", a relevé de son côté le directeur général du CCB, Miguel De Bruycker, soulignant la nécessité de “s’adapter en permanence à ces nouvelles techniques".
"Nous y faisons face en essayant de maintenir le plus possible ces sites en ligne et ce matin, quasiment tous les sites sont de nouveau accessibles", a-t-il affirmé.
"Il est toujours très difficile de prouver l'origine d'une attaque en cybersécurité", a-t-elle précisé, affirmant que les sites touchés, dont ceux du ministère fédéral des Finances, de la chancellerie du Premier ministre ou encore du Sénat, sont bien protégés et que des mesures sont déjà prises, même si des leçons seront certainement tirées à la suite de ces événements.
Une attaque du même type avait déjà été menée, jeudi dernier, contre des sites de services publics belges, mais avec une "méthode différente", a relevé de son côté le directeur général du CCB, Miguel De Bruycker, soulignant la nécessité de “s’adapter en permanence à ces nouvelles techniques".
"Nous y faisons face en essayant de maintenir le plus possible ces sites en ligne et ce matin, quasiment tous les sites sont de nouveau accessibles", a-t-il affirmé.
