Sa prise de parole était très attendue. Ce lundi 29 avril, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a annoncé qu'il reste en fonction, après qu'un tribunal madrilène ait ouvert une enquête préliminaire pour trafic d'influence et corruption contre son épouse, Begoña Gómez, à la suite de la plainte d'une association proche de l'extrême droite.
Après l'annonce de cette enquête, le dirigeant socialiste avait mis en jeu son poste via un message publié sur les réseaux sociaux. "J'ai besoin de m'arrêter et de réfléchir" afin de décider "si je dois continuer à être à la tête du gouvernement ou si je dois renoncer à cet honneur", avait écrit Sanchez dans une lettre, diffusée sur le réseau social X.
Après l'annonce de cette enquête, le dirigeant socialiste avait mis en jeu son poste via un message publié sur les réseaux sociaux. "J'ai besoin de m'arrêter et de réfléchir" afin de décider "si je dois continuer à être à la tête du gouvernement ou si je dois renoncer à cet honneur", avait écrit Sanchez dans une lettre, diffusée sur le réseau social X.