Rachid Aït El Hadj avait été condamné, avec quatre autres hommes (trois Franco-marocains et un Franco-turc), à huit ans de prison pour sa "participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte terroriste".
Les cinq hommes étaient notamment jugés pour leurs liens plus ou moins directs avec des membres d'un groupe jihadiste responsable des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca. Ils avaient été libérés entre 2009 et 2011.
Rachid Aït El Hadj avait toutefois continué d'inquiéter les autorités à sa sortie de détention, étant notamment soupçonné d'avoir entretenu des liens avec l'auteur de l'attentat manqué en 2015 contre une église à Villejuif, près de Paris, Sid Ahmed Ghlam.
Les cinq hommes avaient été déchus de la nationalité française en 2015 par décrets parus au Journal officiel, sur demande du ministre de l'Intérieur de l'époque Bernard Cazeneuve, malgré un recours devant le Conseil d'État.
La juridiction suprême avait considéré "qu'en raison de la nature et de la gravité des faits de terrorisme commis", "la sanction de déchéance de nationalité n'avait pas revêtu un caractère disproportionné" et que "dans chaque cas, le comportement de l'intéressé postérieurement aux faits ne permettait pas de remettre en cause cette appréciation".
Les cinq hommes étaient notamment jugés pour leurs liens plus ou moins directs avec des membres d'un groupe jihadiste responsable des attentats du 16 mai 2003 à Casablanca. Ils avaient été libérés entre 2009 et 2011.
Rachid Aït El Hadj avait toutefois continué d'inquiéter les autorités à sa sortie de détention, étant notamment soupçonné d'avoir entretenu des liens avec l'auteur de l'attentat manqué en 2015 contre une église à Villejuif, près de Paris, Sid Ahmed Ghlam.
Les cinq hommes avaient été déchus de la nationalité française en 2015 par décrets parus au Journal officiel, sur demande du ministre de l'Intérieur de l'époque Bernard Cazeneuve, malgré un recours devant le Conseil d'État.
La juridiction suprême avait considéré "qu'en raison de la nature et de la gravité des faits de terrorisme commis", "la sanction de déchéance de nationalité n'avait pas revêtu un caractère disproportionné" et que "dans chaque cas, le comportement de l'intéressé postérieurement aux faits ne permettait pas de remettre en cause cette appréciation".