Les compagnies aériennes ont été appelées à renoncer lundi à 25% de leurs vols à Paris-Orly, deuxième aéroport français, et à Toulouse-Blagnac. Les transporteurs ont aussi été appelés à réduire de 20% leurs vols à Bordeaux-Mérignac et à Marseille-Provence, a détaillé la DGAC.
"En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir", prévoit-elle, invitant "les passagers qui le peuvent à reporter leur voyage".
Plusieurs syndicats entendent protester contre l'adoption mercredi d'une proposition de loi visant à obliger les contrôleurs aériens à se déclarer individuellement grévistes ou non 48 heures à l'avance, comme c'est déjà le cas à la régie parisienne des transports RATP ou à la compagnie ferroviaire SNCF.
Ce texte "protecteur et d'équilibre" permet de mettre fin "à un système asymétrique" à l'origine d'une "désorganisation du service public", a défendu le ministre français des Transports Clément Beaune.
Dans un communiqué publié mardi, le syndicat majoritaire du secteur (SNCTA), qui n'a pas appelé à la grève, s'est exprimé en faveur du texte, alertant sur une "instrumentalisation du droit de grève et son usage déraisonné".
En septembre, ce syndicat s'est engagé à respecter une "trêve olympique", c'est-à-dire à ne pas faire grève d'ici à la fin des Jeux olympiques et paralympiques prévus en France pendant l'été 2024.
Selon le ministre des Transports, cet accord engage aussi le deuxième syndicat en nombre de voix aux élections professionnelles des aiguilleurs du ciel, l'UNSA-ICNA.
"En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir", prévoit-elle, invitant "les passagers qui le peuvent à reporter leur voyage".
Plusieurs syndicats entendent protester contre l'adoption mercredi d'une proposition de loi visant à obliger les contrôleurs aériens à se déclarer individuellement grévistes ou non 48 heures à l'avance, comme c'est déjà le cas à la régie parisienne des transports RATP ou à la compagnie ferroviaire SNCF.
Ce texte "protecteur et d'équilibre" permet de mettre fin "à un système asymétrique" à l'origine d'une "désorganisation du service public", a défendu le ministre français des Transports Clément Beaune.
Dans un communiqué publié mardi, le syndicat majoritaire du secteur (SNCTA), qui n'a pas appelé à la grève, s'est exprimé en faveur du texte, alertant sur une "instrumentalisation du droit de grève et son usage déraisonné".
En septembre, ce syndicat s'est engagé à respecter une "trêve olympique", c'est-à-dire à ne pas faire grève d'ici à la fin des Jeux olympiques et paralympiques prévus en France pendant l'été 2024.
Selon le ministre des Transports, cet accord engage aussi le deuxième syndicat en nombre de voix aux élections professionnelles des aiguilleurs du ciel, l'UNSA-ICNA.