Noboa, qui succède au président sortant Guillermo Lasso, devra pendant cette période achever le mandat du président sortant qui prendra fin en mai 2025.
La cérémonie d'investiture s'est déroulée à l'Assemblée nationale en présence de 600 invités de différents pays du monde, dont l'ambassadeur du Maroc en Colombie et en Equateur, Farida Loudaya, représentant le Royaume.
Daniel Noboa, qui a prêté serment devant le président de l'Assemblée nationale, a reconnu la difficulté de sa tâche à la tête de l’État en si peu de temps, promettent de « mettre fin à l'ennemi commun : la violence et la misère".
"Peu de candidats étaient prêts à prendre le risque de cette élection. Pour le bien de l'Équateur, et parce que j'ai une vision renouvelée et jeune, je me suis lancé dans la course à la présidence sans hésitation », a affirmé Noboa, qui est devenu à 35 ans le plus jeune président de l'histoire de l'Équateur.
Le nouveau président équatorien devra faire face à trois défis principaux : l'insécurité générée par les groupes du narcotrafic, le redressement de la situation socio-économique et le paiement d'une lourde dette extérieure.
Il a déjà annoncé qu'il introduirait l'état d'urgence comme première mesure et qu'il enverrait des réformes fiscales et énergétiques urgentes à l'Assemblée nationale.
Noboa, qui avait remporté le deuxième tour des élections présidentielles anticipées le 15 octobre dernier, représente l'alliance de l'Action démocratique nationale (ADN-droite).
Il avait battu Luisa Gonzalez, candidate du parti de la Révolution Citoyenne (gauche), un organe fondé par l'ancien président Rafael Correa.
La cérémonie d'investiture s'est déroulée à l'Assemblée nationale en présence de 600 invités de différents pays du monde, dont l'ambassadeur du Maroc en Colombie et en Equateur, Farida Loudaya, représentant le Royaume.
Daniel Noboa, qui a prêté serment devant le président de l'Assemblée nationale, a reconnu la difficulté de sa tâche à la tête de l’État en si peu de temps, promettent de « mettre fin à l'ennemi commun : la violence et la misère".
"Peu de candidats étaient prêts à prendre le risque de cette élection. Pour le bien de l'Équateur, et parce que j'ai une vision renouvelée et jeune, je me suis lancé dans la course à la présidence sans hésitation », a affirmé Noboa, qui est devenu à 35 ans le plus jeune président de l'histoire de l'Équateur.
Le nouveau président équatorien devra faire face à trois défis principaux : l'insécurité générée par les groupes du narcotrafic, le redressement de la situation socio-économique et le paiement d'une lourde dette extérieure.
Il a déjà annoncé qu'il introduirait l'état d'urgence comme première mesure et qu'il enverrait des réformes fiscales et énergétiques urgentes à l'Assemblée nationale.
Noboa, qui avait remporté le deuxième tour des élections présidentielles anticipées le 15 octobre dernier, représente l'alliance de l'Action démocratique nationale (ADN-droite).
Il avait battu Luisa Gonzalez, candidate du parti de la Révolution Citoyenne (gauche), un organe fondé par l'ancien président Rafael Correa.