L'armée israélienne a appelé dimanche les Iraniens à évacuer les zones "à proximité d'installations militaires", dans un communiqué publié sur le réseau social X. S'adressant à "toutes les personnes qui se trouvent actuellement dans des installations militaires en Iran, ou à proximité (de ces installations)", l'armée a dit "demander à évacuer immédiatement" les lieux, précisant que leur vie était "en danger", via un communiqué publié en arabe et en farsi par Avichay Adraee, un porte-parole arabophone de l'armée israélienne.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit vouloir frapper "tous les sites du régime" en Iran dans le cadre de l'attaque sans précédent lancée vendredi par Israël avec l'objectif affiché de l'empêcher d'obtenir l'arme nucléaire.
Le président américain Donald Trump a prévenu l'Iran que son armée répliquerait avec "toute sa force" s'il attaquait les Etats-Unis, réaffirmant que son pays "n'avait rien à voir" avec les attaques israéliennes.
Avant l'aube, les sirènes d'alerte anti-aérienne ont retenti et des explosions ont été entendues à Jérusalem et Tel-Aviv (centre), ont constaté des journalistes de l'AFP après les salves de missiles iraniens.
Dix personnes ont péri et plus de 200 ont été blessées depuis samedi soir dans la région de Tel-Aviv et à Tamra en Haute-Galilée (nord), selon les secours, la police et des hôpitaux israéliens, portant à 13 le nombre de morts dont des enfants en Israël depuis le début du conflit.
Les tirs ont provoqué des dégâts et destructions à Bat Yam, au sud de Tel-Aviv. A la lumière des torches, les pompiers et les secouristes ont fouillé les décombres d'un bâtiment endommagé par une frappe iranienne, selon des images de l'AFP.
A côté, les débris jonchent le sol et des voitures sont détruites. Une grue est utilisée pour dégager les blocs de béton.
A plus de 1.500 km de là, l'Iran a été la cible de nouveaux bombardements des avions de combat israéliens, notamment la capitale Téhéran.
Un épais nuage de fumée plane le matin au-dessus de Téhéran après une frappe nocturne contre un dépôt de carburant qui a provoqué un incendie.
Mais la circulation a repris et les cafés, magasins et boutiques ont rouvert comme d'habitude. De longues files d'attente se sont formées aux stations-service.
Les autorités de Téhéran ont demandé à leurs employés de travailler à distance dans les jours à venir.
"Téhéran brûle", a commenté dimanche le ministre israélien de la Défense, Israël Katz.
Depuis un bilan de 78 morts en Iran donné vendredi par le représentant iranien à l'ONU, Amir Saeid Iravani, les autorités iraniennes n'ont pas fourni un bilan total des frappes.
L'armée israélienne a affirmé avoir visé dimanche des cibles "liées au projet d'armes nucléaires du régime iranien" à Téhéran, en citant le ministère de la Défense et le siège de l'Organisation d'innovation et de recherche défensives. Plusieurs détonations ont été entendues dans la capitale par les journalistes de l'AFP.
Selon l'agence de presse iranienne Tasnim, le ministère de la Défense a été pris pour cible et l'un de ses bâtiments a été "légèrement endommagé".
Le ministère du Pétrole a indiqué que deux dépôts de carburant ont également été frappés à Téhéran, dont celui de Shahran où un incendie s'est déclaré.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit vouloir frapper "tous les sites du régime" en Iran dans le cadre de l'attaque sans précédent lancée vendredi par Israël avec l'objectif affiché de l'empêcher d'obtenir l'arme nucléaire.
Le président américain Donald Trump a prévenu l'Iran que son armée répliquerait avec "toute sa force" s'il attaquait les Etats-Unis, réaffirmant que son pays "n'avait rien à voir" avec les attaques israéliennes.
Avant l'aube, les sirènes d'alerte anti-aérienne ont retenti et des explosions ont été entendues à Jérusalem et Tel-Aviv (centre), ont constaté des journalistes de l'AFP après les salves de missiles iraniens.
Dix personnes ont péri et plus de 200 ont été blessées depuis samedi soir dans la région de Tel-Aviv et à Tamra en Haute-Galilée (nord), selon les secours, la police et des hôpitaux israéliens, portant à 13 le nombre de morts dont des enfants en Israël depuis le début du conflit.
Les tirs ont provoqué des dégâts et destructions à Bat Yam, au sud de Tel-Aviv. A la lumière des torches, les pompiers et les secouristes ont fouillé les décombres d'un bâtiment endommagé par une frappe iranienne, selon des images de l'AFP.
A côté, les débris jonchent le sol et des voitures sont détruites. Une grue est utilisée pour dégager les blocs de béton.
A plus de 1.500 km de là, l'Iran a été la cible de nouveaux bombardements des avions de combat israéliens, notamment la capitale Téhéran.
Un épais nuage de fumée plane le matin au-dessus de Téhéran après une frappe nocturne contre un dépôt de carburant qui a provoqué un incendie.
Mais la circulation a repris et les cafés, magasins et boutiques ont rouvert comme d'habitude. De longues files d'attente se sont formées aux stations-service.
Les autorités de Téhéran ont demandé à leurs employés de travailler à distance dans les jours à venir.
"Téhéran brûle", a commenté dimanche le ministre israélien de la Défense, Israël Katz.
Depuis un bilan de 78 morts en Iran donné vendredi par le représentant iranien à l'ONU, Amir Saeid Iravani, les autorités iraniennes n'ont pas fourni un bilan total des frappes.
L'armée israélienne a affirmé avoir visé dimanche des cibles "liées au projet d'armes nucléaires du régime iranien" à Téhéran, en citant le ministère de la Défense et le siège de l'Organisation d'innovation et de recherche défensives. Plusieurs détonations ont été entendues dans la capitale par les journalistes de l'AFP.
Selon l'agence de presse iranienne Tasnim, le ministère de la Défense a été pris pour cible et l'un de ses bâtiments a été "légèrement endommagé".
Le ministère du Pétrole a indiqué que deux dépôts de carburant ont également été frappés à Téhéran, dont celui de Shahran où un incendie s'est déclaré.