"Nous sommes prêts et nous serons prêts tout le long des Jeux", a lancé Emmanuel Macron en inaugurant le commissariat de police et la caserne des pompiers du village olympique.
"Si on pourra être collectivement fiers du pays, c'est parce que vous faites ce sacrifice", a-t-il dit aux policiers et pompiers mobilisés pour la sécurité du plus grand événement sportif de la planète (26 juillet-11 août).
Emmanuel Macron a participé lundi matin avant cette visite à une réunion avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin "pour faire le point sur les éléments de sécurité les plus confidentiels pour la cérémonie d'ouverture", prévue vendredi sur la Seine.
"Ça fait maintenant des années que nous travaillons pour ces Jeux et nous sommes au début d'une semaine décisive qui verra vendredi la cérémonie d'ouverture et puis l'Olympiade qui se tiendra à Paris, cent ans après", a-t-il dit. "C'est le fruit d'un immense travail qui a profondément changé le territoire, en particulier le département" de Seine-Saint-Denis, en banlieue nord de la capitale, a-t-il ajouté.
Il a insisté sur l'"héritage" des JO pour ces territoires défavorisés, grâce à de nombreuses infrastructures qui resteront après les épreuves. "Je reviendrai après les Jeux pour en voir l'héritage à vos côtés et voir la vie qui aura changé", a-t-il promis.
Avant de déjeuner avec les sportifs français, le chef de l'Etat a aussi salué les bénévoles "au coeur du chaudron dans ce village olympique". "La France est très fière d'accueillir ces Jeux", "merci du fond du coeur de nous permettre d'accueillir le monde", a-t-il lancé.
"Si on pourra être collectivement fiers du pays, c'est parce que vous faites ce sacrifice", a-t-il dit aux policiers et pompiers mobilisés pour la sécurité du plus grand événement sportif de la planète (26 juillet-11 août).
Emmanuel Macron a participé lundi matin avant cette visite à une réunion avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin "pour faire le point sur les éléments de sécurité les plus confidentiels pour la cérémonie d'ouverture", prévue vendredi sur la Seine.
"Ça fait maintenant des années que nous travaillons pour ces Jeux et nous sommes au début d'une semaine décisive qui verra vendredi la cérémonie d'ouverture et puis l'Olympiade qui se tiendra à Paris, cent ans après", a-t-il dit. "C'est le fruit d'un immense travail qui a profondément changé le territoire, en particulier le département" de Seine-Saint-Denis, en banlieue nord de la capitale, a-t-il ajouté.
Il a insisté sur l'"héritage" des JO pour ces territoires défavorisés, grâce à de nombreuses infrastructures qui resteront après les épreuves. "Je reviendrai après les Jeux pour en voir l'héritage à vos côtés et voir la vie qui aura changé", a-t-il promis.
Avant de déjeuner avec les sportifs français, le chef de l'Etat a aussi salué les bénévoles "au coeur du chaudron dans ce village olympique". "La France est très fière d'accueillir ces Jeux", "merci du fond du coeur de nous permettre d'accueillir le monde", a-t-il lancé.