Le président américain, Donald Trump, voudrait que le Royaume Hachémite, avec l'Égypte, accueille l'essentiel des habitants de la bande de Gaza.
"L'une des choses que nous pouvons faire immédiatement, c'est de prendre 2.000 enfants, des enfants atteints de cancer ou très malades", a dit le Roi de Jordanie. "C'est vraiment un beau geste", s'est félicité Donald Trump, assis aux côtés de son invité et du Prince Héritier Hussein dans le Bureau ovale.
"Je dois penser à ce qui est dans l'intérêt de mon pays", a affirmé Abdallah II, qui avait déjà rejeté auparavant tout déplacement de Palestiniens. Sur X, il a ensuite assuré avoir exprimé au président américain sa "ferme opposition au déplacement de Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie", soulignant qu'il s'agissait d'une "position arabe commune".
Trump a une nouvelle fois défendu son projet pour Gaza, qui a soulevé l'indignation internationale: "Nous allons posséder Gaza. Nous n'avons pas besoin de l'acheter. Il n'y a rien à acheter", a déclaré Donald Trump, assurant que le territoire serait placé "sous contrôle américain", sans expliquer de quelle manière. Abdallah II a lui fait savoir que l'Egypte élaborait un plan de coopération avec Donald Trump, et que ce projet ferait l'objet de discussions en Arabie saoudite. "Attendons que les Egyptiens puissent présenter" ce plan, a-t-il plaidé.
Dans un communiqué mardi soir, le ministère égyptien des Affaires étrangères a fait savoir que Le Caire entendait "présenter une vision globale pour la reconstruction" de la bande de Gaza, "qui garantisse que le peuple palestinien reste sur sa terre, et en conformité avec les droits légitimes et légaux de ce peuple".
Donald Trump avait évoqué lundi un arrêt des aides américaines à la Jordanie si elle n'accueillait pas des Palestiniens, soit 750 millions de dollars d'aide économique et environ 350 millions de dollars supplémentaires en aide militaire par an.
"L'une des choses que nous pouvons faire immédiatement, c'est de prendre 2.000 enfants, des enfants atteints de cancer ou très malades", a dit le Roi de Jordanie. "C'est vraiment un beau geste", s'est félicité Donald Trump, assis aux côtés de son invité et du Prince Héritier Hussein dans le Bureau ovale.
"Je dois penser à ce qui est dans l'intérêt de mon pays", a affirmé Abdallah II, qui avait déjà rejeté auparavant tout déplacement de Palestiniens. Sur X, il a ensuite assuré avoir exprimé au président américain sa "ferme opposition au déplacement de Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie", soulignant qu'il s'agissait d'une "position arabe commune".
Trump a une nouvelle fois défendu son projet pour Gaza, qui a soulevé l'indignation internationale: "Nous allons posséder Gaza. Nous n'avons pas besoin de l'acheter. Il n'y a rien à acheter", a déclaré Donald Trump, assurant que le territoire serait placé "sous contrôle américain", sans expliquer de quelle manière. Abdallah II a lui fait savoir que l'Egypte élaborait un plan de coopération avec Donald Trump, et que ce projet ferait l'objet de discussions en Arabie saoudite. "Attendons que les Egyptiens puissent présenter" ce plan, a-t-il plaidé.
Dans un communiqué mardi soir, le ministère égyptien des Affaires étrangères a fait savoir que Le Caire entendait "présenter une vision globale pour la reconstruction" de la bande de Gaza, "qui garantisse que le peuple palestinien reste sur sa terre, et en conformité avec les droits légitimes et légaux de ce peuple".
Donald Trump avait évoqué lundi un arrêt des aides américaines à la Jordanie si elle n'accueillait pas des Palestiniens, soit 750 millions de dollars d'aide économique et environ 350 millions de dollars supplémentaires en aide militaire par an.