Le 31 décembre 2022, l'Assemblée générale des Nations unies avait adopté une résolution demandant à la CIJ un "avis consultatif" sur les "conséquences juridiques découlant des politiques et des pratiques d'Israël dans les Territoires palestiniens occupés, y compris à Jérusalem-Est".
"La Cour a estimé que la présence continue d'Israël dans les Territoires palestiniens était illégale", a annoncé vendredi le juge présidant la Cour internationale de Justice, Nawaf Salam. Une cinquantaine d'Etats ont témoigné dans cette affaire sans précédent.
"L'État d'Israël a l'obligation de mettre fin le plus rapidement possible à sa présence illégale dans les Territoires palestiniens occupés", a-t-il poursuivi.
"C'est un grand jour pour la Palestine", a réagi Varsen Aghabekian Chahine, la ministre déléguée aux Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, après la publication de l'avis de la CIJ. Il s'agit d'une "décision mensongère", a de son côté commenté le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
"La Cour a estimé que la présence continue d'Israël dans les Territoires palestiniens était illégale", a annoncé vendredi le juge présidant la Cour internationale de Justice, Nawaf Salam. Une cinquantaine d'Etats ont témoigné dans cette affaire sans précédent.
"L'État d'Israël a l'obligation de mettre fin le plus rapidement possible à sa présence illégale dans les Territoires palestiniens occupés", a-t-il poursuivi.
"C'est un grand jour pour la Palestine", a réagi Varsen Aghabekian Chahine, la ministre déléguée aux Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, après la publication de l'avis de la CIJ. Il s'agit d'une "décision mensongère", a de son côté commenté le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.