Des deux côtés de la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire, le Pakistan et l'Inde, qui accuse son voisin d'être lié à l'attentat ayant causé la mort de 26 civils à Pahalgam, continuent de hausser le ton.
L'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque; tandis que le Sénat pakistanais a voté à l'unanimité une résolution qui "rejette" les accusations "infondées" de l'Inde et "prévient" que le Pakistan est "prêt à (se) défendre".
Avant l'aube, des échanges de tirs ont eu lieu "de poste à poste dans la vallée de Leepa" sur la LoC au Cachemire. Ils n'ont "pas visé la population civile et la vie suit son cours, les écoles sont ouvertes", selon Syed Achfaq Gilani, un haut responsable de l'administration au Cachemire pakistanais.
L'armée indienne a confirmé des tirs brefs à l'arme légère lancés, selon elle, par le Pakistan et auxquels elle a "répondu efficacement".
Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique". "Nous exhortons les deux gouvernements (...) à la retenue maximale et à s'assurer que la situation ne se détériore pas", a déclaré jeudi soir le porte-parole des Nations unies Stephane Dujarric.
L'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque; tandis que le Sénat pakistanais a voté à l'unanimité une résolution qui "rejette" les accusations "infondées" de l'Inde et "prévient" que le Pakistan est "prêt à (se) défendre".
Avant l'aube, des échanges de tirs ont eu lieu "de poste à poste dans la vallée de Leepa" sur la LoC au Cachemire. Ils n'ont "pas visé la population civile et la vie suit son cours, les écoles sont ouvertes", selon Syed Achfaq Gilani, un haut responsable de l'administration au Cachemire pakistanais.
L'armée indienne a confirmé des tirs brefs à l'arme légère lancés, selon elle, par le Pakistan et auxquels elle a "répondu efficacement".
Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique". "Nous exhortons les deux gouvernements (...) à la retenue maximale et à s'assurer que la situation ne se détériore pas", a déclaré jeudi soir le porte-parole des Nations unies Stephane Dujarric.