"La propagation du Mpox en Afrique de l’Est, dans la Corne de l’Afrique et en Afrique australe est très préoccupante, notamment pour les migrants en situation de vulnérabilité, les populations très mobiles et les communautés déplacées qui sont souvent laissées pour compte dans ces situations de crise", a souligné la Directrice générale de l’OIM, Amy Pope.
"Nous devons agir rapidement pour protéger les personnes les plus exposées et pour atténuer l’impact de cette épidémie sur la région", a-t-elle plaidé dans un communiqué, publié mercredi.
Ce financement permettra notamment de renforcer les capacités de réponse aux besoins des migrants, des personnes déplacées à l’intérieur de leur pays et des communautés d’accueil, en soutenant les mesures de lutte et de prévention des infections, en particulier aux frontières. Il permettra aussi de renforcer les capacités du personnel de santé au niveau national et des agents de première ligne, et d’identifier les zones à haut risque afin d’assurer un suivi efficace de la maladie et de réduire sa propagation à travers les frontières.
Avec ces fonds, l’OIM entend également promouvoir des activités de sensibilisation auprès de ces personnes et renforcer la coordination transfrontalière dans le cadre de la riposte à la maladie, qui s'inscrit dans le cadre du mandat de l'organisation internationale en matière de soutien aux migrants, aux populations déplacées et aux communautés frontalières.
Mpox affecte les populations de la région depuis plus de dix ans. Face à la propagation rapide de la nouvelle souche de la maladie, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré, le 14 août, que ce virus constituait une urgence de santé publique de portée internationale.
À ce jour, plus de 15 000 cas suspects ont été recensés dans la seule République démocratique du Congo, dont 537 décès, selon l’OMS. D’autres cas ont été confirmés au Burundi, au Kenya, au Rwanda, en Afrique du Sud et en Ouganda.
Cette maladie infectieuse causée par un virus du genre Orthopoxvirus peut provoquer des symptômes tels que des éruptions cutanées douloureuses, des ganglions lymphatiques enflés et de la fièvre.
"Nous devons agir rapidement pour protéger les personnes les plus exposées et pour atténuer l’impact de cette épidémie sur la région", a-t-elle plaidé dans un communiqué, publié mercredi.
Ce financement permettra notamment de renforcer les capacités de réponse aux besoins des migrants, des personnes déplacées à l’intérieur de leur pays et des communautés d’accueil, en soutenant les mesures de lutte et de prévention des infections, en particulier aux frontières. Il permettra aussi de renforcer les capacités du personnel de santé au niveau national et des agents de première ligne, et d’identifier les zones à haut risque afin d’assurer un suivi efficace de la maladie et de réduire sa propagation à travers les frontières.
Avec ces fonds, l’OIM entend également promouvoir des activités de sensibilisation auprès de ces personnes et renforcer la coordination transfrontalière dans le cadre de la riposte à la maladie, qui s'inscrit dans le cadre du mandat de l'organisation internationale en matière de soutien aux migrants, aux populations déplacées et aux communautés frontalières.
Mpox affecte les populations de la région depuis plus de dix ans. Face à la propagation rapide de la nouvelle souche de la maladie, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré, le 14 août, que ce virus constituait une urgence de santé publique de portée internationale.
À ce jour, plus de 15 000 cas suspects ont été recensés dans la seule République démocratique du Congo, dont 537 décès, selon l’OMS. D’autres cas ont été confirmés au Burundi, au Kenya, au Rwanda, en Afrique du Sud et en Ouganda.
Cette maladie infectieuse causée par un virus du genre Orthopoxvirus peut provoquer des symptômes tels que des éruptions cutanées douloureuses, des ganglions lymphatiques enflés et de la fièvre.