“L’ordre mondial actuel ne fonctionne pas pour tout le monde”, a déclaré le chef de l’ONU dans un discours lors de la 60è Conférence de Munich sur la sécurité, relevant que le monde est confronté à des défis existentiels, avec une communauté internationale qui se trouve “plus fragmentée et divisée que jamais depuis 75 ans”.
Cité par le service de presse de l’ONU, M. Guterres a encore indiqué que l’ordre mondial doit profiter à tous, combler les lacunes et apporter des solutions. “Si les pays remplissaient leurs obligations au titre de la Charte des Nations Unies (...), chaque personne sur Terre vivrait en paix et dans la dignité”, a-t-il dit.
Au-delà de la gestion des crises immédiates, comme en Ukraine et au Soudan, António Guterres a estimé qu'il fallait renforcer l’architecture mondiale de paix et de sécurité pour faire face aux menaces et aux défis actuels, tels que la crise climatique, l’intelligence artificielle ou les cyberarmes.
Il a expliqué que le nouvel agenda pour la paix, qui sera discuté lors du Sommet de l’avenir en septembre prochain à New York, vise à mettre à jour les systèmes de sécurité collective basés sur un multilatéralisme plus connecté et inclusif pour un monde en transition.
La Conférence de Munich sur la sécurité, qui se poursuit jusqu’à dimanche, se veut une plateforme pour des initiatives diplomatiques et des réunions privées, afin de délibérer sur les risques sécuritaires les plus urgents.
Chaque année, des chefs d’État, des ministres, des décideurs, des spécialistes du monde de la recherche et de l’économie, ainsi que des ONG, discutent des défis à relever en matière de politique étrangère et de sécurité.
Cité par le service de presse de l’ONU, M. Guterres a encore indiqué que l’ordre mondial doit profiter à tous, combler les lacunes et apporter des solutions. “Si les pays remplissaient leurs obligations au titre de la Charte des Nations Unies (...), chaque personne sur Terre vivrait en paix et dans la dignité”, a-t-il dit.
Au-delà de la gestion des crises immédiates, comme en Ukraine et au Soudan, António Guterres a estimé qu'il fallait renforcer l’architecture mondiale de paix et de sécurité pour faire face aux menaces et aux défis actuels, tels que la crise climatique, l’intelligence artificielle ou les cyberarmes.
Il a expliqué que le nouvel agenda pour la paix, qui sera discuté lors du Sommet de l’avenir en septembre prochain à New York, vise à mettre à jour les systèmes de sécurité collective basés sur un multilatéralisme plus connecté et inclusif pour un monde en transition.
La Conférence de Munich sur la sécurité, qui se poursuit jusqu’à dimanche, se veut une plateforme pour des initiatives diplomatiques et des réunions privées, afin de délibérer sur les risques sécuritaires les plus urgents.
Chaque année, des chefs d’État, des ministres, des décideurs, des spécialistes du monde de la recherche et de l’économie, ainsi que des ONG, discutent des défis à relever en matière de politique étrangère et de sécurité.