Les nitazènes "peuvent provoquer des overdoses" qui "peuvent survenir brutalement, dans un délai très court après la prise, et entraîner une mise en jeu du pronostic vital, du fait de leur puissance", met en garde l’ANSM, qui avait demandé au début du mois de juillet l'inscription de ces composés sur la liste officielle des stupéfiants.
"Les opioïdes sont une famille de substances qui agissent notamment sur le système nerveux central. Utilisés principalement comme médicaments antalgiques, tels la morphine ou le fentanyl, ces substances, classées comme stupéfiants, font également l’objet d’un marché et d’une consommation illicites. Ces substances peuvent être d’origine naturelle, hémi synthétique ou synthétique", précise le gendarme du médicament.
Et d'expliquer que ces produits se présentent sous forme de poudre, comprimé, liquide, dans des sprays pour instillation nasale ou dans des e-liquides.
"Ils y sont présents seuls ou associés à d’autres substances psychoactives et parfois à l’insu des usagers. Ils ont été détectés dans des échantillons supposés d’héroïne, de fentanyl, de cocaïne, de kétamine ou encore dans des médicaments contrefaits. Ils sont injectés, inhalés ou consommés par voie nasale ou rectale", explique l'ANSM.
Deux cas de décès en lien avec des nitazènes ont été rapportés en 2023 en France, et plusieurs dizaines d’autres ailleurs en Europe.
"Les opioïdes sont une famille de substances qui agissent notamment sur le système nerveux central. Utilisés principalement comme médicaments antalgiques, tels la morphine ou le fentanyl, ces substances, classées comme stupéfiants, font également l’objet d’un marché et d’une consommation illicites. Ces substances peuvent être d’origine naturelle, hémi synthétique ou synthétique", précise le gendarme du médicament.
Et d'expliquer que ces produits se présentent sous forme de poudre, comprimé, liquide, dans des sprays pour instillation nasale ou dans des e-liquides.
"Ils y sont présents seuls ou associés à d’autres substances psychoactives et parfois à l’insu des usagers. Ils ont été détectés dans des échantillons supposés d’héroïne, de fentanyl, de cocaïne, de kétamine ou encore dans des médicaments contrefaits. Ils sont injectés, inhalés ou consommés par voie nasale ou rectale", explique l'ANSM.
Deux cas de décès en lien avec des nitazènes ont été rapportés en 2023 en France, et plusieurs dizaines d’autres ailleurs en Europe.