Cette avancée préserve le cessez-le-feu fragile visant à mettre fin à terme à plus de 15 mois de guerre qui ont dévasté la bande de Gaza et déplacé la quasi-totalité de ses 2,4 millions d'habitants.
Des images de l'AFP montrent un flot ininterrompu de Gazaouis, hommes, femmes et enfants, marchant, chargés de bagages ou poussant des chariots, sur l'artère côtière vers le nord du territoire palestinien.
Les véhicules, dont de longues files patientent à l'approche du point de passage, doivent emprunter un autre axe, plus à l'est du territoire.
Selon un responsable de la sécurité, "plus de 200.000 déplacés" étaient passés au nord deux heures après l'ouverture, à 05H00 GMT, du passage pour les piétons.
"C'est un sentiment formidable de rentrer chez soi, auprès de sa famille, ses proches ses êtres chers et pour inspecter sa maison, s'il y a toujours une maison", confie dans la foule en marche Ibrahim Abu Hassera.
De retour chez elle à Gaza-ville, Lamees al-Iwady confie vivre, à 22 ans, "le jour le plus heureux" de sa vie, malgré les décombres qui l'entourent. "Nous reconstruirons nos maisons, même si c'est avec de la boue et du sable", dit-elle.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a de son côté averti sur le réseau social X que son pays ne permettrait pas "un retour à la réalité du 7 octobre". Quiconque "menacera les forces de l'armée israélienne paiera un prix élevé", a-t-il écrit.
Le Hamas tout comme le président palestinien Mahmoud Abbas et de nombreux pays arabes ont dénoncé dimanche l'idée lancée par le président américain, Donald Trump, de déplacer les Gazaouis vers l'Egypte et la Jordanie pour, selon ses termes, "faire le ménage" dans le territoire.
La Jordanie, qui accueille environ 2,3 millions de réfugiés palestiniens, et l'Egypte ont réaffirmé dimanche tout rejet d'un tel "déplacement forcé".
La Ligue arabe a mis en garde contre ce qui "ne pourrait être qualifié autrement que comme du nettoyage ethnique".
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich (extrême droite), a lui salué une "excellente idée" de Donald Trump.
La première phase de l'accord de cessez-le-feu, entré en vigueur le 19 janvier, doit durer six semaines et permettre la libération au total de 33 otages retenus à Gaza contre quelque 1.900 prisonniers palestiniens.
Des images de l'AFP montrent un flot ininterrompu de Gazaouis, hommes, femmes et enfants, marchant, chargés de bagages ou poussant des chariots, sur l'artère côtière vers le nord du territoire palestinien.
Les véhicules, dont de longues files patientent à l'approche du point de passage, doivent emprunter un autre axe, plus à l'est du territoire.
Selon un responsable de la sécurité, "plus de 200.000 déplacés" étaient passés au nord deux heures après l'ouverture, à 05H00 GMT, du passage pour les piétons.
"C'est un sentiment formidable de rentrer chez soi, auprès de sa famille, ses proches ses êtres chers et pour inspecter sa maison, s'il y a toujours une maison", confie dans la foule en marche Ibrahim Abu Hassera.
De retour chez elle à Gaza-ville, Lamees al-Iwady confie vivre, à 22 ans, "le jour le plus heureux" de sa vie, malgré les décombres qui l'entourent. "Nous reconstruirons nos maisons, même si c'est avec de la boue et du sable", dit-elle.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a de son côté averti sur le réseau social X que son pays ne permettrait pas "un retour à la réalité du 7 octobre". Quiconque "menacera les forces de l'armée israélienne paiera un prix élevé", a-t-il écrit.
Le Hamas tout comme le président palestinien Mahmoud Abbas et de nombreux pays arabes ont dénoncé dimanche l'idée lancée par le président américain, Donald Trump, de déplacer les Gazaouis vers l'Egypte et la Jordanie pour, selon ses termes, "faire le ménage" dans le territoire.
La Jordanie, qui accueille environ 2,3 millions de réfugiés palestiniens, et l'Egypte ont réaffirmé dimanche tout rejet d'un tel "déplacement forcé".
La Ligue arabe a mis en garde contre ce qui "ne pourrait être qualifié autrement que comme du nettoyage ethnique".
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich (extrême droite), a lui salué une "excellente idée" de Donald Trump.
La première phase de l'accord de cessez-le-feu, entré en vigueur le 19 janvier, doit durer six semaines et permettre la libération au total de 33 otages retenus à Gaza contre quelque 1.900 prisonniers palestiniens.