Le Sommet sur l’intelligence artificielle, qui se tiendra au Grand Palais, réunira chefs d'État et de gouvernements, dirigeants d'organisations internationales, de petites et grandes entreprises, représentants du monde universitaire, chercheurs, organisations non-gouvernementales, artistes et membres de la société civil avec l’ambition de « bâtir une IA de confiance », précise la même source.
«A partir du 6 février et ce jusqu’au Sommet, de nombreux événements feront de la France le centre névralgique de l’intelligence artificielle dans le monde avec pour ambition de bâtir une IA de confiance, mais également de permettre aux acteurs du monde entier d’échanger et de développer des solutions inclusives et efficaces », assure la présidence française.
Ainsi, la première journée de ce conclave des acteurs mondiaux de l’IA prendra la forme de conférences, tables-rondes, présentations, qui mettront en avant les solutions permises par l’IA, lit-on sur le site du sommet.
« Cyberattaques et désinformation: tirer parti de l’IA pour protéger les démocraties », « Mettre en place une gouvernance de l’IA efficiente et réellement inclusive », « Faire grandir des écosystèmes d'IA compétitifs et soutenables dans le monde entier » ou encore « Orienter l’IA vers l’’intérêt général : vers un écosystème d’IA résilient et ouvert » sont parmi les thématiques qui seront discutées à cette occasion.
Le deuxième jour sera marqué par une session plénière qui rassemblera au Grand Palais les chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités internationales, pour échanger sur les grandes actions communes à mettre en œuvre en matière d’IA.
En parallèle, la ville de Paris accueillera une centaine d’évènements liés au Sommet pour les acteurs de la société civile et les entreprises, dont un consacré aux entreprises (Business Day).
D’autres évènements dédiés à l’IA et la démocratie, à l’impact environnemental de cette technologie, à la manipulation de l’information, ou encore à la cybersécurité sont notamment prévus.
Selon les promoteurs du sommet, plus qu’une révolution industrielle et technologique, l’intelligence artificielle laisse entrevoir « de profonds changements dans nos sociétés, dans nos rapports au savoir, au travail, à l’information, à la culture et même au langage ».
« Cette révolution technologique ne connaît pas de frontières. En ce sens, l’IA est un enjeu scientifique, économique, culturel, politique et citoyen qui nécessite un dialogue étroit entre les Etats, les chercheurs, les entreprises, les créateurs et la société civile », souligne-t-on.
«A partir du 6 février et ce jusqu’au Sommet, de nombreux événements feront de la France le centre névralgique de l’intelligence artificielle dans le monde avec pour ambition de bâtir une IA de confiance, mais également de permettre aux acteurs du monde entier d’échanger et de développer des solutions inclusives et efficaces », assure la présidence française.
Ainsi, la première journée de ce conclave des acteurs mondiaux de l’IA prendra la forme de conférences, tables-rondes, présentations, qui mettront en avant les solutions permises par l’IA, lit-on sur le site du sommet.
« Cyberattaques et désinformation: tirer parti de l’IA pour protéger les démocraties », « Mettre en place une gouvernance de l’IA efficiente et réellement inclusive », « Faire grandir des écosystèmes d'IA compétitifs et soutenables dans le monde entier » ou encore « Orienter l’IA vers l’’intérêt général : vers un écosystème d’IA résilient et ouvert » sont parmi les thématiques qui seront discutées à cette occasion.
Le deuxième jour sera marqué par une session plénière qui rassemblera au Grand Palais les chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités internationales, pour échanger sur les grandes actions communes à mettre en œuvre en matière d’IA.
En parallèle, la ville de Paris accueillera une centaine d’évènements liés au Sommet pour les acteurs de la société civile et les entreprises, dont un consacré aux entreprises (Business Day).
D’autres évènements dédiés à l’IA et la démocratie, à l’impact environnemental de cette technologie, à la manipulation de l’information, ou encore à la cybersécurité sont notamment prévus.
Selon les promoteurs du sommet, plus qu’une révolution industrielle et technologique, l’intelligence artificielle laisse entrevoir « de profonds changements dans nos sociétés, dans nos rapports au savoir, au travail, à l’information, à la culture et même au langage ».
« Cette révolution technologique ne connaît pas de frontières. En ce sens, l’IA est un enjeu scientifique, économique, culturel, politique et citoyen qui nécessite un dialogue étroit entre les Etats, les chercheurs, les entreprises, les créateurs et la société civile », souligne-t-on.