La CGT et FO demandent à la mairie de Paris, actionnaire majoritaire de Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete), d'être "raisonnable au niveau de ses exigences financières afin d'assurer la pérennité du monument et de l'entreprise qui le gère".
L'accès à la Dame de Fer est fermé pour la journée, a confirmé le personnel d'accueil à l'AFP sur place.
Les syndicats, qui avaient déjà initié une grève fin décembre, le jour des 100 ans de la mort de Gustave Eiffel, dénoncent un modèle économique "trop ambitieux et intenable" avec une "sous-évaluation des budgets travaux", couplée à une "sur-évaluation des recettes".
Selon la CGT et FO, ce modèle "est devenu invivable suite à la période Covid qui a amputé le monument de 120 millions de recettes issues de la billetterie".
Les syndicats interpellent la direction sur l'état de la tour Eiffel malgré les travaux de restauration en cours: "de nombreux points de corrosion sont visibles, symptômes d'une dégradation inquiétante du monument", et ce alors que "la dernière campagne de peinture, gage principal de la conservation du monument, a vu ses coûts de réalisation s'envoler" avec "100 millions d'euros investis pour une campagne de peinture partielle avec seulement 3% du monument décapé". Ils réclament la création d'un "fonds de dotation spécial en prévision des dépenses colossales qui seront nécessaires dans les décennies à venir".
L'accès à la Dame de Fer est fermé pour la journée, a confirmé le personnel d'accueil à l'AFP sur place.
Les syndicats, qui avaient déjà initié une grève fin décembre, le jour des 100 ans de la mort de Gustave Eiffel, dénoncent un modèle économique "trop ambitieux et intenable" avec une "sous-évaluation des budgets travaux", couplée à une "sur-évaluation des recettes".
Selon la CGT et FO, ce modèle "est devenu invivable suite à la période Covid qui a amputé le monument de 120 millions de recettes issues de la billetterie".
Les syndicats interpellent la direction sur l'état de la tour Eiffel malgré les travaux de restauration en cours: "de nombreux points de corrosion sont visibles, symptômes d'une dégradation inquiétante du monument", et ce alors que "la dernière campagne de peinture, gage principal de la conservation du monument, a vu ses coûts de réalisation s'envoler" avec "100 millions d'euros investis pour une campagne de peinture partielle avec seulement 3% du monument décapé". Ils réclament la création d'un "fonds de dotation spécial en prévision des dépenses colossales qui seront nécessaires dans les décennies à venir".