L'armée israélienne a indiqué que l'école ciblée à Gaza-ville (nord) était utilisée par le Hamas et le Jihad islamique pour "perpétrer des attentats terroristes".
Ce raid, dont le bilan ne peut être vérifié de source indépendante, est l'un des plus meurtriers depuis le début de la guerre, déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste Hamas contre le sud d'Israël le 7 octobre dernier.
L'école al-Tabi'een de Gaza visée avant l'aube servait d'abri à environ 250 déplacés, en majorité de femmes et des enfants, ont affirmé ses sources du gouvernement du Hamas qui a dénoncé une "dangereuse escalade".
Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a indiqué que "trois missiles avaient visé deux étages de l'école et la mosquée (adjacente), causant la mort de 93 personnes, dont 11 enfants et six femmes". "Des dizaines de personnes ont été blessées et "il y a des morceaux de corps non identifiés et des personnes disparues", a-t-il ajouté.
Des secouristes ont ramassé des corps dans un bâtiment détruit, selon des images de l'AFP montrant également des proches en pleurs près de corps d'enfants enveloppés dans des draps blancs.
"Les gens faisaient la prière de l'aube" au moment du raid, a déclaré un secouriste.
"Israël commet un génocide des Palestiniens, un quartier à la fois, un hôpital à la fois, une école à la fois, un camp de réfugiés à la fois, une zone de sécurité à la fois", a accusé la rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens, Fransesca Albanese, mandatée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, mais ne s'exprimant pas au nom de l'organisation.
Plusieurs pays ainsi que l'Union européenne ont condamné cette attaque, notamment la France, le Royaume-Uni, la Turquie, l'Arabie saoudite, le Qatar et les Emirats arabes unis.
"Au moins dix écoles ont été ciblées ces dernières semaines. Il n'y a pas de justification à ces massacres", a affirmé le chef de la diplomatie européenne, Josep Borell.
La France a fustigé un "nombre de victimes civiles intolérable". "Le respect du droit international humanitaire s'impose à Israël."
Jeudi, les pays médiateurs -Qatar, Etats-Unis et Egypte- ont appelé à la reprise à cette date des discussions qui ont échoué ces derniers mois, alors que la communauté internationale craint une escalade militaire entre l'Iran et ses alliés, d'une part, et Israël, de l'autre.
Ce raid, dont le bilan ne peut être vérifié de source indépendante, est l'un des plus meurtriers depuis le début de la guerre, déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste Hamas contre le sud d'Israël le 7 octobre dernier.
L'école al-Tabi'een de Gaza visée avant l'aube servait d'abri à environ 250 déplacés, en majorité de femmes et des enfants, ont affirmé ses sources du gouvernement du Hamas qui a dénoncé une "dangereuse escalade".
Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a indiqué que "trois missiles avaient visé deux étages de l'école et la mosquée (adjacente), causant la mort de 93 personnes, dont 11 enfants et six femmes". "Des dizaines de personnes ont été blessées et "il y a des morceaux de corps non identifiés et des personnes disparues", a-t-il ajouté.
Des secouristes ont ramassé des corps dans un bâtiment détruit, selon des images de l'AFP montrant également des proches en pleurs près de corps d'enfants enveloppés dans des draps blancs.
"Les gens faisaient la prière de l'aube" au moment du raid, a déclaré un secouriste.
"Israël commet un génocide des Palestiniens, un quartier à la fois, un hôpital à la fois, une école à la fois, un camp de réfugiés à la fois, une zone de sécurité à la fois", a accusé la rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens, Fransesca Albanese, mandatée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, mais ne s'exprimant pas au nom de l'organisation.
Plusieurs pays ainsi que l'Union européenne ont condamné cette attaque, notamment la France, le Royaume-Uni, la Turquie, l'Arabie saoudite, le Qatar et les Emirats arabes unis.
"Au moins dix écoles ont été ciblées ces dernières semaines. Il n'y a pas de justification à ces massacres", a affirmé le chef de la diplomatie européenne, Josep Borell.
La France a fustigé un "nombre de victimes civiles intolérable". "Le respect du droit international humanitaire s'impose à Israël."
Jeudi, les pays médiateurs -Qatar, Etats-Unis et Egypte- ont appelé à la reprise à cette date des discussions qui ont échoué ces derniers mois, alors que la communauté internationale craint une escalade militaire entre l'Iran et ses alliés, d'une part, et Israël, de l'autre.