La nuit de 13-14 Mai a été agitée pour des milliers d’habitants du sud de la Grèce. À 01h51 (heure locale), un séisme de magnitude 6,1 a fait vibrer la mer Égée méridionale. Son épicentre, situé à 15 kilomètres au sud-est de l’île grecque de Kasos, entre la Crète et l’archipel du Dodécanèse, a été ressenti dans plusieurs régions du pays, notamment sur les îles de Crète, Rhodes, Karpathos et Kos.
Mais la secousse a aussi franchi les frontières grecques. À plus de 700 kilomètres de là, au Caire, la capitale de l’Égypte, de nombreux habitants ont rapporté avoir senti le sol trembler.
Si le séisme n’a causé ni blessé ni dégât, l’alerte a néanmoins été donnée : les résidents des îles grecques de Rhodes, Karpathos et Kasos ont reçu, sur leurs téléphones portables, un message les avertissant d’un risque potentiel de tsunami. Une mesure de précaution, rapidement déployée par les autorités, qui témoigne d’une vigilance maximale face aux dangers.
Dès le lever du jour, les autorités grecques ont tenté de calmer les inquiétudes. Le professeur Efthymios Lekkas, président de l’Organisation grecque de planification et de protection antisismique (OASP), s’est exprimé publiquement :« Ce séisme ne sera pas suivi d’une forte séquence de répliques, ni ne peut être considéré comme un précurseur d’un séisme plus important », a-t-il déclaré aux médias locaux.
Il a mis en avant un élément crucial : la profondeur du foyer sismique, estimée à 78 kilomètres, réduit considérablement le risque de nouvelles secousses.
Traversée par de nombreuses failles tectoniques, la Grèce est régulièrement secouée par des séismes, souvent ressentis dans les pays voisins du bassin méditerranéen. En octobre 2020, un séisme de magnitude 7 entre les îles grecques de Samos et les côtes turques avait provoqué la mort de deux personnes en Grèce et de plus de 100 en Turquie, à Izmir.
Mais la secousse a aussi franchi les frontières grecques. À plus de 700 kilomètres de là, au Caire, la capitale de l’Égypte, de nombreux habitants ont rapporté avoir senti le sol trembler.
Si le séisme n’a causé ni blessé ni dégât, l’alerte a néanmoins été donnée : les résidents des îles grecques de Rhodes, Karpathos et Kasos ont reçu, sur leurs téléphones portables, un message les avertissant d’un risque potentiel de tsunami. Une mesure de précaution, rapidement déployée par les autorités, qui témoigne d’une vigilance maximale face aux dangers.
Dès le lever du jour, les autorités grecques ont tenté de calmer les inquiétudes. Le professeur Efthymios Lekkas, président de l’Organisation grecque de planification et de protection antisismique (OASP), s’est exprimé publiquement :« Ce séisme ne sera pas suivi d’une forte séquence de répliques, ni ne peut être considéré comme un précurseur d’un séisme plus important », a-t-il déclaré aux médias locaux.
Il a mis en avant un élément crucial : la profondeur du foyer sismique, estimée à 78 kilomètres, réduit considérablement le risque de nouvelles secousses.
Traversée par de nombreuses failles tectoniques, la Grèce est régulièrement secouée par des séismes, souvent ressentis dans les pays voisins du bassin méditerranéen. En octobre 2020, un séisme de magnitude 7 entre les îles grecques de Samos et les côtes turques avait provoqué la mort de deux personnes en Grèce et de plus de 100 en Turquie, à Izmir.