“Nous devons accélérer l’action en faveur des objectifs de développement durable. Nous n’avons pas une minute à perdre”, a lancé le chef de l’ONU lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation du rapport sur l’état d’avancement des ODD en 2024.
Il a, par ailleurs, indiqué que l’incapacité de la communauté internationale à garantir la paix, à faire face au changement climatique et à stimuler la finance internationale compromet la marche vers le développement.
Notant que seulement 17% de ces objectifs sont sur la bonne voie, Antonio Guterres a précisé que les progrès dans plus d’un tiers des ODD sont au point mort ou bien ont régressé.
Il a toutefois souligné que la communauté internationale est en mesure de réaliser une percée vers un avenir meilleur, ajoutant que le présent rapport renferme des lueurs d’espoir quant à la possibilité de réaliser le développement escompté.
Il a cité en exemple l’accès des filles dans la majorité des régions du monde à la parité en matière d’éducation, alors que les femmes continuent de percer dans les domaines de la politiques, des affaires et au-delà.
Pour le haut responsable onusien, il y a lieu de galvaniser les efforts et d’accélérer l’action simultanément dans trois domaines, à savoir la promotion de la paix, les transitions énergétique et digitale, outre la réforme de l’architecture financière mondiale.
“De Gaza au Soudan, en passant par l’Ukraine et au-delà, il est temps de faire taire les armes, de soutenir les déplacés” et d’investir dans les personnes et la paix, a-t-il insisté.
Il a, de même, exhorté les pays à proposer d’ici 2025 des plans nationaux d’action climatique ambitieux qui s’alignent sur la limite de 1,5 degré, couvrent l’ensemble de l’économie et font également office de plans d’investissement.
Il a, en outre, plaidé pour une augmentation des investissements visant à élargir l’accès à la connectivité et aux avantages de l’économie numérique.
S’agissant de la réforme financière, le chef de l’ONU a relevé que de nombreux pays en développement manquent de ressources pour investir dans leur avenir, insistant sur la nécessité d’intensifier les efforts pour mettre en œuvre les mesures de relance des ODD.
Il s’agit, selon lui, de réduire les pressions sur l’endettement et les coûts du service de la dette et d’élargir l’accès au financement d’urgence pour les pays menacés par une crise de trésorerie.
Il a, par ailleurs, indiqué que l’incapacité de la communauté internationale à garantir la paix, à faire face au changement climatique et à stimuler la finance internationale compromet la marche vers le développement.
Notant que seulement 17% de ces objectifs sont sur la bonne voie, Antonio Guterres a précisé que les progrès dans plus d’un tiers des ODD sont au point mort ou bien ont régressé.
Il a toutefois souligné que la communauté internationale est en mesure de réaliser une percée vers un avenir meilleur, ajoutant que le présent rapport renferme des lueurs d’espoir quant à la possibilité de réaliser le développement escompté.
Il a cité en exemple l’accès des filles dans la majorité des régions du monde à la parité en matière d’éducation, alors que les femmes continuent de percer dans les domaines de la politiques, des affaires et au-delà.
Pour le haut responsable onusien, il y a lieu de galvaniser les efforts et d’accélérer l’action simultanément dans trois domaines, à savoir la promotion de la paix, les transitions énergétique et digitale, outre la réforme de l’architecture financière mondiale.
“De Gaza au Soudan, en passant par l’Ukraine et au-delà, il est temps de faire taire les armes, de soutenir les déplacés” et d’investir dans les personnes et la paix, a-t-il insisté.
Il a, de même, exhorté les pays à proposer d’ici 2025 des plans nationaux d’action climatique ambitieux qui s’alignent sur la limite de 1,5 degré, couvrent l’ensemble de l’économie et font également office de plans d’investissement.
Il a, en outre, plaidé pour une augmentation des investissements visant à élargir l’accès à la connectivité et aux avantages de l’économie numérique.
S’agissant de la réforme financière, le chef de l’ONU a relevé que de nombreux pays en développement manquent de ressources pour investir dans leur avenir, insistant sur la nécessité d’intensifier les efforts pour mettre en œuvre les mesures de relance des ODD.
Il s’agit, selon lui, de réduire les pressions sur l’endettement et les coûts du service de la dette et d’élargir l’accès au financement d’urgence pour les pays menacés par une crise de trésorerie.