Esquissée en décembre auprès des analystes financiers, cette mesure concernera les valises de cabine, alors que Transavia faisait jusqu'ici seulement payer les éventuelles valises en soute en sus du tarif de base du billet.
Celui-ci donnera le droit, à partir du 3 avril, d'emporter uniquement un "bagage à main" de petite taille (40x30x20cm), pouvant se glisser sous le siège, a précisé jeudi Transavia à l'AFP. L'option du bagage en cabine sera facturée à partir de 15 euros; "le montant variera en fonction de la destination choisie et de la date de réservation", selon la même source. Ces bagages ne devront pas excéder 55x35x25cm et 10 kg. A défaut, il faudra s'acquitter du tarif d'un bagage en soute.
Les clients ayant choisi le tarif "MAX", plus flexible, mais aussi plus cher, "continueront de pouvoir voyager avec un bagage à main (40x30x20cm), un grand bagage cabine (55x35x25cm) et de bénéficier de l'embarquement prioritaire", selon Transavia.
Benjamin Smith, directeur général d'Air France-KLM, a défendu jeudi une mesure qui est "déjà en place chez tous les concurrents de Transavia". Lors d'une conférence de presse consacrée aux résultats annuels du groupe aérien à Paris, M. Smith a refusé d'en dire plus sur le chiffre d'affaires supplémentaire que cette mesure pourrait générer. Mais Air France-KLM s'est félicité d'avoir, entre 2019 et 2023, fait progresser de 53% par passager ses recettes annexes, tirées des options (bagages, choix des sièges, surclassements, repas...)
Fer de lance du développement d'Air France-KLM, Transavia vise 81 appareils basés en France d'ici à la fin de 2024. Elle a étendu son réseau ces dernières années, de Dubaï au Cap-Vert en passant par Louxor (Egypte) et Rovaniemi (Finlande), mais aussi en France, plus de 200 liaisons au total.
La compagnie, qui vient d'entamer le renouvellement de ses Boeing 737 par des Airbus A320neo, a transporté 21,4 millions de voyageurs en 2023 (+16,9% sur un an).
Celui-ci donnera le droit, à partir du 3 avril, d'emporter uniquement un "bagage à main" de petite taille (40x30x20cm), pouvant se glisser sous le siège, a précisé jeudi Transavia à l'AFP. L'option du bagage en cabine sera facturée à partir de 15 euros; "le montant variera en fonction de la destination choisie et de la date de réservation", selon la même source. Ces bagages ne devront pas excéder 55x35x25cm et 10 kg. A défaut, il faudra s'acquitter du tarif d'un bagage en soute.
Les clients ayant choisi le tarif "MAX", plus flexible, mais aussi plus cher, "continueront de pouvoir voyager avec un bagage à main (40x30x20cm), un grand bagage cabine (55x35x25cm) et de bénéficier de l'embarquement prioritaire", selon Transavia.
Benjamin Smith, directeur général d'Air France-KLM, a défendu jeudi une mesure qui est "déjà en place chez tous les concurrents de Transavia". Lors d'une conférence de presse consacrée aux résultats annuels du groupe aérien à Paris, M. Smith a refusé d'en dire plus sur le chiffre d'affaires supplémentaire que cette mesure pourrait générer. Mais Air France-KLM s'est félicité d'avoir, entre 2019 et 2023, fait progresser de 53% par passager ses recettes annexes, tirées des options (bagages, choix des sièges, surclassements, repas...)
Fer de lance du développement d'Air France-KLM, Transavia vise 81 appareils basés en France d'ici à la fin de 2024. Elle a étendu son réseau ces dernières années, de Dubaï au Cap-Vert en passant par Louxor (Egypte) et Rovaniemi (Finlande), mais aussi en France, plus de 200 liaisons au total.
La compagnie, qui vient d'entamer le renouvellement de ses Boeing 737 par des Airbus A320neo, a transporté 21,4 millions de voyageurs en 2023 (+16,9% sur un an).