Un ancien employé du réseau social, Mark Schobinger, a intenté en juin un procès à la plateforme pour rupture de contrat, arguant que Twitter avait promis à ses salariés le versement d'un bonus pour 2022 s'ils restaient dans l'entreprise rachetée par Elon Musk jusqu'au premier trimestre 2023, date limite prévue pour ce paiement.
X a tenté de faire rejeter cette demande mais la justice a refusé estimant que le dossier et la plainte pour rupture de contrat était valide, selon les termes de la loi californienne.
"Schobinger a invoqué une réclamation pour rupture de contrat qui est valide en vertu de la loi californienne. Il allègue que Twitter a promis verbalement de verser à chaque employé une partie de la prime envisagée", a écrit le juge Vince Chhabria. "Et en refusant de verser à Schobinger la prime promise, Twitter a violé ce contrat", a déclaré le juge.
Le réseau social peut faire appel de la décision du tribunal.
Désormais propriété d'Elon Musk et rebaptisé X, le groupe est confronté à de nombreuses difficultés, dont une enquête de Bruxelles sur la désinformation et la haine en ligne.
X a tenté de faire rejeter cette demande mais la justice a refusé estimant que le dossier et la plainte pour rupture de contrat était valide, selon les termes de la loi californienne.
"Schobinger a invoqué une réclamation pour rupture de contrat qui est valide en vertu de la loi californienne. Il allègue que Twitter a promis verbalement de verser à chaque employé une partie de la prime envisagée", a écrit le juge Vince Chhabria. "Et en refusant de verser à Schobinger la prime promise, Twitter a violé ce contrat", a déclaré le juge.
Le réseau social peut faire appel de la décision du tribunal.
Désormais propriété d'Elon Musk et rebaptisé X, le groupe est confronté à de nombreuses difficultés, dont une enquête de Bruxelles sur la désinformation et la haine en ligne.