Dans une déclaration à la presse à l’issue de cette entrevue, M. Pacheco Villar a exprimé son appui à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, saluant l’engagement du Royaume pour le respect du droit international.
Il a mis en avant le progrès et la dynamique de développement que connaissent les provinces du sud du Maroc.
M. Pacheco Villar a fait part de sa détermination à œuvrer pour la promotion de la coopération Sud-Sud entre l'Amérique latine et le Maroc qui constitue non seulement une porte d'entrée vers l'Afrique, mais également vers l'Europe.
De son côté, le vice-président du Parlement andin, le député colombien Óscar Darío Pérez, s’est félicité de la dynamique de développement du Maroc sous le Leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, notamment en matière d’infrastructures, de transition énergétique, d’environnement, de lutte contre la pauvreté, de multiplication du PIB et d’amélioration de la qualité de vie des citoyens.
Il a mis l’accent sur l’importance d’une intégration Sud-Sud mutuellement bénéfique, notamment dans les domaines économique et social, appelant au renforcement de la coopération en matière commerciale, industrielle, humaine, technologique, culturelle et des services.
Grâce à son essor économique et à sa position géographique stratégique, le Maroc est désormais considéré comme partenaire clé par l’Union européenne et les États-Unis, a rappelé M. Pérez, formulant le souhait des pays membres du Parlement andin de bénéficier de l’expérience prouvée du Royaume en la matière. De ce fait, il a souligné le rôle clé que la diplomatie parlementaire est appelée à jouer dans le renforcement des relations entre le Royaume et l’Amérique latine.
Le Parlement marocain est membre observateur et partenaire avancé du Parlement andin, institué le 25 octobre 1979 en tant qu’organe représentant les peuples des cinq pays andins : la Bolivie, la Colombie, l’Équateur, le Pérou et le Chili.
Ce Parlement vise à harmoniser les législations, à renforcer la coopération entre les Parlements des États membres, à soutenir la démocratie participative et à consolider le processus d’intégration régionale.
Ces entretiens, auxquels ont pris part le secrétaire général du Conseil, Maouelainin Ben Khallihenna Maouelainin, et le membre de cette institution, Moulay Ahmed Mghizlat, ont été l’occasion d’aborder les derniers développements de la question du Sahara marocain.
À cet égard, M. Ould Errachid a souligné la pertinence du plan marocain d'autonomie pour le Sahara, présenté par le Royaume en 2007, comme étant une base sérieuse et crédible pour le règlement définitif du différend autour du Sahara marocain.
Dans ce sillage, il a mis l’accent sur le soutien croissant de l'ONU et de la communauté internationale à la marocanité du Sahara et à l'initiative d'autonomie sous souveraineté marocaine, notant que cette initiative reste la seule et unique solution pour mettre fin à ce conflit artificiel.
Cette rencontre a, également, été l'occasion de jeter la lumière sur les moyens de renforcer la coopération avec l'Amérique latine et de développer les relations institutionnelles et bilatérales avec les pays de la région en général et la Communauté andine en particulier.
Il a mis en avant le progrès et la dynamique de développement que connaissent les provinces du sud du Maroc.
M. Pacheco Villar a fait part de sa détermination à œuvrer pour la promotion de la coopération Sud-Sud entre l'Amérique latine et le Maroc qui constitue non seulement une porte d'entrée vers l'Afrique, mais également vers l'Europe.
De son côté, le vice-président du Parlement andin, le député colombien Óscar Darío Pérez, s’est félicité de la dynamique de développement du Maroc sous le Leadership de S.M. le Roi Mohammed VI, notamment en matière d’infrastructures, de transition énergétique, d’environnement, de lutte contre la pauvreté, de multiplication du PIB et d’amélioration de la qualité de vie des citoyens.
Il a mis l’accent sur l’importance d’une intégration Sud-Sud mutuellement bénéfique, notamment dans les domaines économique et social, appelant au renforcement de la coopération en matière commerciale, industrielle, humaine, technologique, culturelle et des services.
Grâce à son essor économique et à sa position géographique stratégique, le Maroc est désormais considéré comme partenaire clé par l’Union européenne et les États-Unis, a rappelé M. Pérez, formulant le souhait des pays membres du Parlement andin de bénéficier de l’expérience prouvée du Royaume en la matière. De ce fait, il a souligné le rôle clé que la diplomatie parlementaire est appelée à jouer dans le renforcement des relations entre le Royaume et l’Amérique latine.
Le Parlement marocain est membre observateur et partenaire avancé du Parlement andin, institué le 25 octobre 1979 en tant qu’organe représentant les peuples des cinq pays andins : la Bolivie, la Colombie, l’Équateur, le Pérou et le Chili.
Ce Parlement vise à harmoniser les législations, à renforcer la coopération entre les Parlements des États membres, à soutenir la démocratie participative et à consolider le processus d’intégration régionale.
Khalihenna Ould Errachid s’entretient à Rabat avec une délégation du Parlement andin
Le président du Conseil Royal consultatif des affaires sahariennes (CORCAS), Khalihenna Ould Errachid, s’est entretenu, mercredi à Rabat, avec le président du Parlement andin, Gustavo Adolfo Pacheco Villar, en visite de travail au Royaume à la tête d'une importante délégation parlementaire.Ces entretiens, auxquels ont pris part le secrétaire général du Conseil, Maouelainin Ben Khallihenna Maouelainin, et le membre de cette institution, Moulay Ahmed Mghizlat, ont été l’occasion d’aborder les derniers développements de la question du Sahara marocain.
À cet égard, M. Ould Errachid a souligné la pertinence du plan marocain d'autonomie pour le Sahara, présenté par le Royaume en 2007, comme étant une base sérieuse et crédible pour le règlement définitif du différend autour du Sahara marocain.
Dans ce sillage, il a mis l’accent sur le soutien croissant de l'ONU et de la communauté internationale à la marocanité du Sahara et à l'initiative d'autonomie sous souveraineté marocaine, notant que cette initiative reste la seule et unique solution pour mettre fin à ce conflit artificiel.
Cette rencontre a, également, été l'occasion de jeter la lumière sur les moyens de renforcer la coopération avec l'Amérique latine et de développer les relations institutionnelles et bilatérales avec les pays de la région en général et la Communauté andine en particulier.
