Le Maroc réaffirme sa position de destination privilégiée pour les investisseurs internationaux. Dans un monde où la compétition pour attirer les capitaux s’intensifie, le Royaume se distingue par des atouts indéniables : stabilité politique, infrastructures de classe mondiale et cadre réglementaire innovant. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une augmentation de 30% des investissements directs étrangers en 2024, atteignant 39,6 milliards de dirhams à fin novembre.
Cette performance remarquable s’inscrit dans une vision plus large de transformation économique, comme l’a souligné Karim Zidane, ministre délégué chargé de l’Investissement, lors de son intervention devant la Chambre des conseillers. «Notre ambition est claire : faire du Maroc une plateforme d’investissement de référence à l’échelle internationale», a-t-il déclaré.
La dynamique d’investissement s’appuie sur des atouts structurels solides. Le Maroc bénéficie d’une position géographique stratégique, renforcée par des accords de libre-échange donnant accès à un marché de 2,5 milliards de consommateurs. Les infrastructures modernes du pays – ports, aéroports, réseaux routiers et parcs industriels – répondent aux standards internationaux les plus exigeants. «Notre approche vise à créer des écosystèmes économiques prometteurs», souligne Karim Zidane, citant l’exemple de la mobilité électrique comme secteur d’avenir. Cette vision se traduit par des résultats concrets : les 171 projets approuvés représentent un investissement global de 94 milliards de dirhams et devraient générer plus de 54.000 emplois directs.
La décentralisation de la gouvernance des investissements représente par ailleurs une avancée significative. Les projets d’un montant inférieur à 250 millions de dirhams bénéficient désormais d’une gestion locale, renforçant ainsi l’efficacité et la rapidité des processus décisionnels. Les Centres régionaux d’investissement (CRI) jouent un rôle pivot dans cette dynamique, comme le souligne la récente loi 22.24 qui renforce leurs prérogatives. Le département de l’Investissement annonce également une action visant la valorisation de l’investissement au niveau régional à travers «la promotion des atouts économiques de chaque région grâce à des campagnes dédiées», promet le ministre.
Cette performance remarquable s’inscrit dans une vision plus large de transformation économique, comme l’a souligné Karim Zidane, ministre délégué chargé de l’Investissement, lors de son intervention devant la Chambre des conseillers. «Notre ambition est claire : faire du Maroc une plateforme d’investissement de référence à l’échelle internationale», a-t-il déclaré.
Un écosystème favorable aux investissements internationaux
La stratégie du Royaume repose sur plusieurs piliers majeurs. Premier élément clé : la nouvelle Charte de l’investissement. Ce cadre réglementaire novateur propose des incitations pouvant atteindre 30% du montant total des projets d’investissement. «Depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle Charte, nous avons approuvé 171 projets, dont 53 financés par des investissements étrangers provenant de 18 pays», précise le ministre.La dynamique d’investissement s’appuie sur des atouts structurels solides. Le Maroc bénéficie d’une position géographique stratégique, renforcée par des accords de libre-échange donnant accès à un marché de 2,5 milliards de consommateurs. Les infrastructures modernes du pays – ports, aéroports, réseaux routiers et parcs industriels – répondent aux standards internationaux les plus exigeants. «Notre approche vise à créer des écosystèmes économiques prometteurs», souligne Karim Zidane, citant l’exemple de la mobilité électrique comme secteur d’avenir. Cette vision se traduit par des résultats concrets : les 171 projets approuvés représentent un investissement global de 94 milliards de dirhams et devraient générer plus de 54.000 emplois directs.
Une répartition territoriale équilibrée des investissements
L’équité territoriale constitue un autre axe majeur de la stratégie d’investissement marocaine. Le gouvernement a mis en place une «prime territoriale» innovante, comprise entre 10 et 15% du montant total de l’investissement, couvrant 80% des provinces du Royaume. Cette initiative porte ses fruits : «32% des projets validés en 2024 concernent des provinces situées hors de l’axe Tanger-Casablanca», précise le ministre.La décentralisation de la gouvernance des investissements représente par ailleurs une avancée significative. Les projets d’un montant inférieur à 250 millions de dirhams bénéficient désormais d’une gestion locale, renforçant ainsi l’efficacité et la rapidité des processus décisionnels. Les Centres régionaux d’investissement (CRI) jouent un rôle pivot dans cette dynamique, comme le souligne la récente loi 22.24 qui renforce leurs prérogatives. Le département de l’Investissement annonce également une action visant la valorisation de l’investissement au niveau régional à travers «la promotion des atouts économiques de chaque région grâce à des campagnes dédiées», promet le ministre.