Cette traduction de l'arabe vers l'amazigh s'inscrit dans le cadre de la consolidation des activités de traduction dans le champ juridique, dans lequel l'Ircam s'est engagé à travers la réalisation de plusieurs projets de traduction de divers textes juridiques, notamment la Constitution, entre autres.
Cette traduction s'inscrit également dans le cadre du plan d'action du Centre de la traduction, de la documentation, de l'édition et de la communication relevant de l'IRCAM.
La traduction des textes de droit revêt une grande importance et contribue à combler le vide dans ce domaine, a souligné à cette occasion la traductrice de l'ouvrage Salima El Koulali, qui est également chercheuse à l'Institut, regrettant que seulement 19 textes juridiques aient été traduits à l'amazigh.
Dans une déclaration à la MAP, Mme El Koulali a indiqué que l'IRCAM s'est consacré à la traduction de cette catégorie de textes en raison de leur importance pour les étudiants chercheurs, les professeurs de langue amazighe, ainsi que pour le pouvoir législatif.
Ces traductions servent également de référence pour les assistants sociaux parlant la langue amazighe au sein du ministère de la Justice, dans les différentes régions du Royaume.
De son côté, le chercheur en culture amazighe, Najib Rachid, a relevé que la traduction du Code de la nationalité marocaine, paru en 1958 et actualisé en 2011, s'inscrit dans le cadre des mesures adoptées par le Royaume pour l'activation du caractère officiel de la langue amazighe, tel que stipulé dans la Constitution et dans la loi organique n°26-16 fixant les étapes de la mise en œuvre du caractère officiel de la langue amazighe et les modalités de son intégration dans l’enseignement et dans les différents secteurs prioritaires de la vie publique.
Il a souligné que cette traduction vise à présenter aux citoyens amazighophones l'arsenal juridique du Royaume et à accroître leurs connaissances juridiques et judiciaires.
Cette traduction s'inscrit également dans le cadre du plan d'action du Centre de la traduction, de la documentation, de l'édition et de la communication relevant de l'IRCAM.
La traduction des textes de droit revêt une grande importance et contribue à combler le vide dans ce domaine, a souligné à cette occasion la traductrice de l'ouvrage Salima El Koulali, qui est également chercheuse à l'Institut, regrettant que seulement 19 textes juridiques aient été traduits à l'amazigh.
Dans une déclaration à la MAP, Mme El Koulali a indiqué que l'IRCAM s'est consacré à la traduction de cette catégorie de textes en raison de leur importance pour les étudiants chercheurs, les professeurs de langue amazighe, ainsi que pour le pouvoir législatif.
Ces traductions servent également de référence pour les assistants sociaux parlant la langue amazighe au sein du ministère de la Justice, dans les différentes régions du Royaume.
De son côté, le chercheur en culture amazighe, Najib Rachid, a relevé que la traduction du Code de la nationalité marocaine, paru en 1958 et actualisé en 2011, s'inscrit dans le cadre des mesures adoptées par le Royaume pour l'activation du caractère officiel de la langue amazighe, tel que stipulé dans la Constitution et dans la loi organique n°26-16 fixant les étapes de la mise en œuvre du caractère officiel de la langue amazighe et les modalités de son intégration dans l’enseignement et dans les différents secteurs prioritaires de la vie publique.
Il a souligné que cette traduction vise à présenter aux citoyens amazighophones l'arsenal juridique du Royaume et à accroître leurs connaissances juridiques et judiciaires.