L’Union Marocaine du Travail (UMT) a annoncé son retrait des commissions tripartites présidées par Younes Sekkouri, ministre de l’Insertion Économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences. Cette décision, révélée par le Conseil national de l’UMT, marque une escalade dans les tensions entourant l’adoption du projet de loi organique sur le droit de grève, un texte largement contesté par les syndicats.
L’UMT accuse le gouvernement de bloquer le dialogue social et d’adopter une loi qualifiée de "liberticide", lors d’une séance plénière où 73,67 % des députés étaient absents. Le syndicat dénonce un "passage en force" qui ignore les revendications des salariés.
Le Conseil national de l’UMT a également salué la forte mobilisation lors de la grève générale des 5 et 6 février 2025, affirmant un taux de participation de 84,9 %, bien supérieur aux chiffres avancés par le gouvernement. Ce dernier est accusé de minimiser l’ampleur de la contestation et de manipuler les données.
Lors de ses travaux, le Conseil national de l’UMT a dénoncé ce qu’il considère comme un "passage en force" du projet de loi sur le droit de grève. Selon le secrétaire général de l’UMT, Miloudi Moukharik, ce texte constitue une atteinte aux libertés syndicales et a été adopté lors d’une séance plénière qualifiée de "mascarade législative", le 5 février 2025.
L’UMT souligne que le projet de loi n’a recueilli que 21 % des voix des députés, en l’absence de 291 membres sur les 395 que compte la Chambre des représentants, soit une abstention de 73,67 %. Pour l’UMT, ce processus traduit une marginalisation des syndicats dans l’élaboration des lois qui touchent directement les droits des travailleurs.
Face à cette situation, l’UMT se dit déterminée à intensifier ses actions pour défendre les droits des travailleurs et préserver leurs acquis sociaux.
L’UMT accuse le gouvernement de bloquer le dialogue social et d’adopter une loi qualifiée de "liberticide", lors d’une séance plénière où 73,67 % des députés étaient absents. Le syndicat dénonce un "passage en force" qui ignore les revendications des salariés.
Le Conseil national de l’UMT a également salué la forte mobilisation lors de la grève générale des 5 et 6 février 2025, affirmant un taux de participation de 84,9 %, bien supérieur aux chiffres avancés par le gouvernement. Ce dernier est accusé de minimiser l’ampleur de la contestation et de manipuler les données.
Lors de ses travaux, le Conseil national de l’UMT a dénoncé ce qu’il considère comme un "passage en force" du projet de loi sur le droit de grève. Selon le secrétaire général de l’UMT, Miloudi Moukharik, ce texte constitue une atteinte aux libertés syndicales et a été adopté lors d’une séance plénière qualifiée de "mascarade législative", le 5 février 2025.
L’UMT souligne que le projet de loi n’a recueilli que 21 % des voix des députés, en l’absence de 291 membres sur les 395 que compte la Chambre des représentants, soit une abstention de 73,67 %. Pour l’UMT, ce processus traduit une marginalisation des syndicats dans l’élaboration des lois qui touchent directement les droits des travailleurs.
Face à cette situation, l’UMT se dit déterminée à intensifier ses actions pour défendre les droits des travailleurs et préserver leurs acquis sociaux.