Les étudiants n'étaient pas nombreux aujourd'hui devants les facultés de médecine et de pharmacie, selon de nombreux témoins. Face à la décision du ministère de l'Enseignement supérieur de maintenir les dates des examens de la session du printemps, les grévistes ont également tenu leur promesse de les boycotter.
Une source du Comité national des étudiants en médecine, pharmacie et médecine dentaire a déclaré à "Assahra Al Maghribia" que les étudiants en médecine et pharmacie dans les différentes facultés publiques continuent de boycotter les examens de la session ordinaire du deuxième semestre, expliquant que le refus du ministère de reporter les examens et de rattraper les stages hospitaliers pendant l'été a causé des préjudices aux étudiants. Ces stages sont une partie essentielle du parcours éducatif et formatif, et leur absence nuit à la formation et affecte négativement les compétences éducatives des futurs médecins, a ajouté la même source.
Le même intervenant a vivement critiqué la fermeture du dialogue et des canaux de communication avec les ministères de l'Enseignement Supérieur et de la Santé pour résoudre les problèmes en suspens depuis plus de quatre mois, soulignant que la "méthode improvisée" qui a caractérisé les négociations avec le gouvernement et le manque de coordination entre les parties responsables et les étudiants ont aggravé la crise. Il a dans ce sens accusé le ministère de "désinvolture" dans la prise de décisions et leur mise en œuvre, notamment lorsqu'il a conditionné l'avenir des étudiants à la passation des examens à la date préalablement fixée, et également lorsqu'il a refusé la demande des étudiants en médecine et en pharmacie qui ont exigé que le gouvernement s'engage par écrit à respecter son offre pour résoudre la crise.
Une source du Comité national des étudiants en médecine, pharmacie et médecine dentaire a déclaré à "Assahra Al Maghribia" que les étudiants en médecine et pharmacie dans les différentes facultés publiques continuent de boycotter les examens de la session ordinaire du deuxième semestre, expliquant que le refus du ministère de reporter les examens et de rattraper les stages hospitaliers pendant l'été a causé des préjudices aux étudiants. Ces stages sont une partie essentielle du parcours éducatif et formatif, et leur absence nuit à la formation et affecte négativement les compétences éducatives des futurs médecins, a ajouté la même source.
Le même intervenant a vivement critiqué la fermeture du dialogue et des canaux de communication avec les ministères de l'Enseignement Supérieur et de la Santé pour résoudre les problèmes en suspens depuis plus de quatre mois, soulignant que la "méthode improvisée" qui a caractérisé les négociations avec le gouvernement et le manque de coordination entre les parties responsables et les étudiants ont aggravé la crise. Il a dans ce sens accusé le ministère de "désinvolture" dans la prise de décisions et leur mise en œuvre, notamment lorsqu'il a conditionné l'avenir des étudiants à la passation des examens à la date préalablement fixée, et également lorsqu'il a refusé la demande des étudiants en médecine et en pharmacie qui ont exigé que le gouvernement s'engage par écrit à respecter son offre pour résoudre la crise.