La crise des étudiants en médecine, qui perdure depuis plus de dix mois, semble enfin sur le point de trouver l'issue tant attendue. Cette évolution survient suite à une nouvelle proposition du ministre de l’Enseignement supérieur, Azeddine El Midaoui, qui a semblé répondre aux principales revendications des «futurs médecins», notamment la question du maintien de la septième année d’études pour les étudiants actuellement en deuxième année et au-delà.
Selon une source proche du dossier, la coordination nationale des étudiants en médecine et en médecine dentaire se prépare à tenir des assemblées générales ce mardi à 15 heures. Ces réunions auront pour objectif d’expliquer en détail l’offre formulée par le ministère avant un vote prévu mercredi, qui se déroulera en présentiel dans les différentes Facultés de médecine. Ce vote représente une lueur d’espoir pour désamorcer la crise.
Il convient de souligner que lors de la réunion tenue vendredi à Rabat, le ministère de l’Enseignement supérieur a formulé une proposition par l’intermédiaire du médiateur du Royaume, stipulant que la décision de réduire la durée des études à six ans ne s’appliquerait pas rétroactivement. Ainsi, les promotions ayant intégré les Facultés de médecine avant le 13 mars 2023, date de la publication de l’arrêté ministériel au Bulletin officiel, continueront à suivre une durée de formation de sept ans et ne seront pas concernées par la réforme du système pédagogique.
De plus, le ministère a convenu de lever les sanctions disciplinaires contre les étudiants et de réorganiser la représentation étudiante au sein des Facultés. Il s’est également engagé à respecter les conclusions des précédents dialogues, notamment l’augmentation des bourses et la réforme du troisième cycle, conformément aux accords et propositions antérieurs.
Selon une source proche du dossier, la coordination nationale des étudiants en médecine et en médecine dentaire se prépare à tenir des assemblées générales ce mardi à 15 heures. Ces réunions auront pour objectif d’expliquer en détail l’offre formulée par le ministère avant un vote prévu mercredi, qui se déroulera en présentiel dans les différentes Facultés de médecine. Ce vote représente une lueur d’espoir pour désamorcer la crise.
Il convient de souligner que lors de la réunion tenue vendredi à Rabat, le ministère de l’Enseignement supérieur a formulé une proposition par l’intermédiaire du médiateur du Royaume, stipulant que la décision de réduire la durée des études à six ans ne s’appliquerait pas rétroactivement. Ainsi, les promotions ayant intégré les Facultés de médecine avant le 13 mars 2023, date de la publication de l’arrêté ministériel au Bulletin officiel, continueront à suivre une durée de formation de sept ans et ne seront pas concernées par la réforme du système pédagogique.
De plus, le ministère a convenu de lever les sanctions disciplinaires contre les étudiants et de réorganiser la représentation étudiante au sein des Facultés. Il s’est également engagé à respecter les conclusions des précédents dialogues, notamment l’augmentation des bourses et la réforme du troisième cycle, conformément aux accords et propositions antérieurs.