Répondant à une question orale sur « l’élargissement et le développement du système de formation en alternance pour soutenir l’emploi », lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le ministre a précisé que le gouvernement a alloué un budget de 500 millions de dirhams à ce programme, appelant les présidents des régions à y contribuer par le biais de subventions spécifiques.
Le ministre a souligné que ce dispositif constitue l’une des solutions concrètes face à la problématique du chômage, en particulier pour les catégories qui ne disposent pas de diplômes. Il a indiqué que le gouvernement a relevé l’aide accordée à chaque bénéficiaire, passant de 4.000 à 5.000 dirhams, et prévoit de réduire la durée des formations, en tenant compte des conditions sociales des travailleurs concernés.
Par ailleurs, répondant à une autre question sur « la catégorie de travailleurs ne disposant d’aucun diplôme », le ministre a indiqué que cette population est passée de près de 68% en 2013 à 43% actuellement, bien qu’elle représente toujours une part importante du marché de l’emploi.
Il a précisé que la solution la plus adaptée à cette catégorie demeure « la formation professionnelle continue », qui a connu de nombreuses difficultés au cours des trois dernières décennies. Celle-ci a été intégrée dans la session d’avril 2024 du dialogue social, dans le cadre duquel le gouvernement a élaboré une vision de réforme, qui sera lancée avant la prochaine session prévue en septembre.
Younes Sekkouri a insisté sur l’importance d’élargir l’accès à la formation en faveur des personnes non diplômées souhaitant intégrer le marché du travail.
Le ministre a souligné que ce dispositif constitue l’une des solutions concrètes face à la problématique du chômage, en particulier pour les catégories qui ne disposent pas de diplômes. Il a indiqué que le gouvernement a relevé l’aide accordée à chaque bénéficiaire, passant de 4.000 à 5.000 dirhams, et prévoit de réduire la durée des formations, en tenant compte des conditions sociales des travailleurs concernés.
Par ailleurs, répondant à une autre question sur « la catégorie de travailleurs ne disposant d’aucun diplôme », le ministre a indiqué que cette population est passée de près de 68% en 2013 à 43% actuellement, bien qu’elle représente toujours une part importante du marché de l’emploi.
Il a précisé que la solution la plus adaptée à cette catégorie demeure « la formation professionnelle continue », qui a connu de nombreuses difficultés au cours des trois dernières décennies. Celle-ci a été intégrée dans la session d’avril 2024 du dialogue social, dans le cadre duquel le gouvernement a élaboré une vision de réforme, qui sera lancée avant la prochaine session prévue en septembre.
Younes Sekkouri a insisté sur l’importance d’élargir l’accès à la formation en faveur des personnes non diplômées souhaitant intégrer le marché du travail.
