De son côté, l'envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la sécurité routière, Jean Todt, a indiqué que cette réunion très importante, avec un nouveau tour de table comptant des personnalités influentes, a permis d’aborder la situation du Fonds, auquel le Maroc a participé lors de la quatrième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière de Marrakech. La crise de la sécurité routière est «une pandémie silencieuse» – la principale cause de décès chez les enfants et les jeunes adultes, avec des répercussions désastreuses sur les familles, les systèmes de santé et les économies, a-t-il souligné.
L’UNRSF rappelle à la fois notre potentiel et les lacunes qui subsistent, a noté M. Todt, relevant que les résultats étaient évidents, mais un changement systémique nécessite plus d’ambition et de soutien. À ce propos, il a exhorté le Conseil consultatif à remettre en question le statu quo et définir des orientations plus audacieuses pour les futurs efforts de mobilisation des ressources, appelant à des approches inventives en matière de recherche de financement. Selon lui, cette réunion du Conseil vise à rendre le Fonds un modèle pour participer à des programmes destinés à des pays en développement qui ont besoin d’accompagnement en matière d’éducation, de changement des comportements, de renforcement de l’application des lois et d’amélioration de la qualité des véhicules, des routes et des secours en vue de diminuer le nombre des victimes sur les routes.
L’UNRSF rappelle à la fois notre potentiel et les lacunes qui subsistent, a noté M. Todt, relevant que les résultats étaient évidents, mais un changement systémique nécessite plus d’ambition et de soutien. À ce propos, il a exhorté le Conseil consultatif à remettre en question le statu quo et définir des orientations plus audacieuses pour les futurs efforts de mobilisation des ressources, appelant à des approches inventives en matière de recherche de financement. Selon lui, cette réunion du Conseil vise à rendre le Fonds un modèle pour participer à des programmes destinés à des pays en développement qui ont besoin d’accompagnement en matière d’éducation, de changement des comportements, de renforcement de l’application des lois et d’amélioration de la qualité des véhicules, des routes et des secours en vue de diminuer le nombre des victimes sur les routes.
De son côté, le Dr Etienne Krug, directeur du département des déterminants sociaux de la santé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a indiqué que cette réunion avait permis de discuter de plans pour l'avenir avec pour objectif l'implémentation de la déclaration de Marrakech signée il y a quelques semaines. L'insécurité routière continue à être un grand problème dans le monde. Elle tue environ 2 millions de personnes chaque année, dont beaucoup de jeunes, a-t-il rappelé, notant qu’il s’agit de la cause de décès numéro un chez les jeunes. «Nous avons besoin de plus de collaboration internationale pour s'attaquer à ce fléau», a-t-il insisté, dans une déclaration à la presse. Les interventions pour la sécurité routière ont «un coût/efficacité très clair». Donc, «si on met un investissement initial, on va le récupérer, parce que l'insécurité routière coûte extrêmement cher en vies humaines et en dégâts matériels», a-t-il relevé. «Nous avons donc besoin de financement pour démarrer les projets dans différents pays, surtout dans les pays en développement», a conclu le responsable de l’OMS.
Des responsables internationaux saluent le leadership du Maroc dans la promotion de la sécurité routière
Des responsables internationaux ont salué, à l'occasion, l'engagement du Maroc dans la promotion de la sécurité routière et son leadership en faveur de cette cause sur la scène mondiale. Dans des déclarations à la presse, ces responsables ont mis en avant le succès de la quatrième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, qui s'est tenue en février dernier à Marrakech, ainsi que la contribution généreuse du Royaume à l’UNRSF. «Le Royaume du Maroc joue un rôle important dans la promotion et l'amélioration de la sécurité routière, non seulement au niveau interne, en Afrique ou dans le monde arabe, mais aussi à l'échelle internationale», a affirmé Nneka Henry, Cheffe de l’UNRSF, ajoutant que la quatrième conférence ministérielle mondiale, accueillie à Marrakech, a été «une étape incroyable dans cette direction». «Aujourd'hui, à Genève, la 10e session du Conseil consultatif du Fonds des Nations unies pour la sécurité routière se tient pour la première fois sous la présidence d’un pays arabe et d'un pays africain, le Royaume du Maroc», s’est-elle réjouie. «Cette réunion discutera d'importantes décisions stratégiques sur la manière dont nous pouvons travailler ensemble en tant qu'ONU, États membres, société civile et entreprises pour réellement améliorer la sécurité routière sous tous ses aspects», a-t-elle relevé.
De son côté, l’envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour la sécurité routière, Jean Todt, a relevé que «beaucoup de projets importants ont été réalisés, mais malheureusement ils sont insuffisants, dans la mesure où il y a toujours trop de victimes sur les routes». «Il faut améliorer l’éducation et l’application des lois, en plus de renforcer l’engagement global et individuel, et nous comptons sur le leadership du Maroc pour atteindre ces résultats», a-t-il déclaré. Le responsable onusien a salué deux décisions très importantes prises par le Maroc lors de la Conférence de Marrakech. «En premier lieu, l’attribution du Prix Mohammed VI pour la sécurité routière et la décision de fournir deux casques homologués par les Nations unies lors de l’acquisition de chaque véhicule à deux-roues motorisé», qualifiant cette décision de «révolution».
De son côté, l’envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour la sécurité routière, Jean Todt, a relevé que «beaucoup de projets importants ont été réalisés, mais malheureusement ils sont insuffisants, dans la mesure où il y a toujours trop de victimes sur les routes». «Il faut améliorer l’éducation et l’application des lois, en plus de renforcer l’engagement global et individuel, et nous comptons sur le leadership du Maroc pour atteindre ces résultats», a-t-il déclaré. Le responsable onusien a salué deux décisions très importantes prises par le Maroc lors de la Conférence de Marrakech. «En premier lieu, l’attribution du Prix Mohammed VI pour la sécurité routière et la décision de fournir deux casques homologués par les Nations unies lors de l’acquisition de chaque véhicule à deux-roues motorisé», qualifiant cette décision de «révolution».