Célébrer l’anniversaire de l’IER à l’heure de la grand-messe genevoise des droits de l’Homme, c’est mettre en avant l’une des grandes réformes introduites par le Souverain dans la vie institutionnelle du Maroc, a déclaré à la MAP l’ambassadeur représentant permanent du Royaume auprès de l’Office des Nations unies à Genève, Omar Zniber, président du CDH au titre de l’année 2024.
«L’une des raisons pour lesquelles le Maroc exerce la présidence du CDH au titre de l’année 2024, c’est qu’il a voulu partager sa longue expérience en matière de réforme et de progrès dans le domaine des droits de l’Homme», a-t-il fait observer. Il s’agit là d’une expérience unique de par son approche fondée sur «la création d’un consensus pour clore le dossier des violations des droits de l’Homme, loin de la logique de représailles et de confrontation», avait affirmé le représentant permanent adjoint du Maroc à Genève, Abdellah Boutadghart, lors du débat sur le rapport annuel du haut-commissaire aux droits de l’Homme.
Le diplomate a relevé à cet égard la méthodologie de travail de l’IER, fondée sur le dialogue inclusif, et ses résultats tangibles en termes de réparation collective et individuelle, de préservation de la mémoire et de consécration des garanties constitutionnelles de non-répétition. La célébration des 20 ans de l’Instance équité et réconciliation propose un programme riche aux niveaux régional, national et international, mettant l’accent sur des axes aussi diversifiés que la mémoire et l’histoire, les rapports et les publications, les documentaires et l’audiovisuel, les événements artistiques, culturels et académiques.
«L’une des raisons pour lesquelles le Maroc exerce la présidence du CDH au titre de l’année 2024, c’est qu’il a voulu partager sa longue expérience en matière de réforme et de progrès dans le domaine des droits de l’Homme», a-t-il fait observer. Il s’agit là d’une expérience unique de par son approche fondée sur «la création d’un consensus pour clore le dossier des violations des droits de l’Homme, loin de la logique de représailles et de confrontation», avait affirmé le représentant permanent adjoint du Maroc à Genève, Abdellah Boutadghart, lors du débat sur le rapport annuel du haut-commissaire aux droits de l’Homme.
Le diplomate a relevé à cet égard la méthodologie de travail de l’IER, fondée sur le dialogue inclusif, et ses résultats tangibles en termes de réparation collective et individuelle, de préservation de la mémoire et de consécration des garanties constitutionnelles de non-répétition. La célébration des 20 ans de l’Instance équité et réconciliation propose un programme riche aux niveaux régional, national et international, mettant l’accent sur des axes aussi diversifiés que la mémoire et l’histoire, les rapports et les publications, les documentaires et l’audiovisuel, les événements artistiques, culturels et académiques.