Bien que l’année blanche n’ait pas encore été officiellement actée, les étudiants en médecine ont annoncé la réussite du boycott du premier examen de deuxième semestre. Un boycott quasi unanime avec un taux ayant dépassé 95,74% pour la filière de médecine et 90% pour la filière de pharmacie.
D’après les étudiants, ce taux de participation reflète la portée de l’engagement des étudiants et «l’étendue des sacrifices qu’ils sont capables de consentir pour la concrétisation de leurs doléances pédagogiques légitimes», qui portent essentiellement sur l’amélioration la formation en vue de garantir la qualité de la future offre de soins censée être dispensée aux citoyens à court et à moyen terme.
Justifiant leur décision, les étudiants ont rappelé dans leur communiqué qu’ils avaient bien accueilli l’initiative gouvernementale visant à réinitialiser le dialogue. Mais face à la rétractation des décideurs sur plusieurs points cruciaux concernant le fond et la forme de la formation – des doléances qui avaient reçu, soulignent-ils, au préalable l’accord de principe du gouvernement lors des premières réunions de dialogue – les étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie ont décidé de boycotter les examens, dont les échéances ont été programmés de façon unilatérale sans annonce préalable. Les futurs médecins ont annoncé néanmoins leur disposition entière à dialoguer avec les décideurs afin de trouver un terrain d’entente qui permettrait de mettre fin à la crise et sauverait l’année universitaire. Ils ont par ailleurs annoncé la création d’une cellule d’écoute composée de psychiatres et de psychologues pour accompagner les étudiants.
D’après les étudiants, ce taux de participation reflète la portée de l’engagement des étudiants et «l’étendue des sacrifices qu’ils sont capables de consentir pour la concrétisation de leurs doléances pédagogiques légitimes», qui portent essentiellement sur l’amélioration la formation en vue de garantir la qualité de la future offre de soins censée être dispensée aux citoyens à court et à moyen terme.
Justifiant leur décision, les étudiants ont rappelé dans leur communiqué qu’ils avaient bien accueilli l’initiative gouvernementale visant à réinitialiser le dialogue. Mais face à la rétractation des décideurs sur plusieurs points cruciaux concernant le fond et la forme de la formation – des doléances qui avaient reçu, soulignent-ils, au préalable l’accord de principe du gouvernement lors des premières réunions de dialogue – les étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie ont décidé de boycotter les examens, dont les échéances ont été programmés de façon unilatérale sans annonce préalable. Les futurs médecins ont annoncé néanmoins leur disposition entière à dialoguer avec les décideurs afin de trouver un terrain d’entente qui permettrait de mettre fin à la crise et sauverait l’année universitaire. Ils ont par ailleurs annoncé la création d’une cellule d’écoute composée de psychiatres et de psychologues pour accompagner les étudiants.