Dans une déclaration à la presse en marge du congrès de l’Internationale socialiste, le Président du gouvernement espagnol et secrétaire général du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), Pedro Sanchez s'est félicité de l’excellence des relations unissant le Maroc et l’Espagne, «deux pays frères et voisins qui partagent des projets et une vision similaire quant aux dossiers et défis auxquels le monde et nos sociétés font face». «Ces liens de coopération, de fraternité et d'amitié sont vitaux pour permettre aux deux sociétés de réaliser leurs aspirations de manière efficace et équitable», a-t-il relevé.
Abordant les relations Maroc-UE, le Président de l'Exécutif espagnol a affirmé que son pays demeurait une porte d'entrée pour le Royaume en tant que partenaire stratégique dans le projet politique européen, précisant que Madrid «a toujours soutenu un partenariat stratégique entre Rabat et Bruxelles, guidé par un esprit gagnant-gagnant». Il a, par ailleurs, évoqué l'importance des rôles que peuvent jouer les socialistes face aux défis actuels, soulignant à cet égard l’importance pour les forces politiques progressistes d’œuvrer en faveur d'une vision sociétale inclusive et tolérante envers la diversité.
«Nous constatons, malheureusement, que des discours réactionnaires sont de plus en plus présents au sein de nos sociétés et, par conséquent, il est très important d’élaborer des stratégies transcendant les frontières des pays et de faire valoir les liens de fraternité entre gouvernements et partis», a soutenu M. Sanchez qui assure la présidence du Congrès de l'Internationale socialiste en sa qualité de chef du Parti socialiste ouvrier espagnol.
Le congrès, qui s'est tenu samedi et dimanche à Rabat, sous le thème «solutions progressives pour un monde en mutation», a rassemblé des représentants des partis sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes membres de l'Internationale. Les participants se sont penchés sur des sujets aussi diversifiés que «Radicalisation, paix et promotion de la sécurité des personnes», «Le pacte de l’avenir comme outil pour un nouvel internationalisme» et «L'impact socioéconomique des changements climatiques et des désastres naturels».
D'autre part, M. Lachgar a souligné que le Maroc avait érigé un modèle démocratique singulier au niveau régional et continental, faisant du Royaume un pilier de stabilité régionale et continentale. Il a également relevé la mise en œuvre par le Royaume de grands projets structurants visant à réaliser un développement global et durable, plaçant le citoyen au cœur des priorités et prenant en compte les spécificités des différentes régions, permettant ainsi de réduire les disparités sociales et économiques.
Le premier secrétaire de l'USFP s'est arrêté, par ailleurs, sur les défis politiques, économiques et sécuritaires qui menacent aujourd'hui la sécurité et la stabilité des sociétés à travers le monde, notamment la migration irrégulière, le terrorisme et la traite des êtres humains, appelant à l’adoption de stratégies globales qui s’attaquent aux causes profondes de ces phénomènes, telles que la pauvreté, la marginalisation sociale et l’instabilité politique. En outre, M. Lachgar a estimé que les défis majeurs que connaissait actuellement le monde «nécessitent des positions fermes et une vision équitable», citant en particulier la cause palestinienne qui est l’un des conflits politiques et humanitaires les plus vieux de l'histoire moderne.
Le Congrès de l'Internationale socialiste, qui s'est tenu sous le thème «Solutions progressives pour un monde en mutation», a rassemblé des représentants des partis sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes membres de l'Internationale. Les participants à ce conclave se sont penchés sur des sujets aussi diversifiés que «Radicalisation, paix et promotion de la sécurité des personnes», «Le pacte de l’avenir comme outil pour un nouvel internationalisme» et «L'impact socioéconomique des changements climatiques et des désastres naturels».
Abordant les relations Maroc-UE, le Président de l'Exécutif espagnol a affirmé que son pays demeurait une porte d'entrée pour le Royaume en tant que partenaire stratégique dans le projet politique européen, précisant que Madrid «a toujours soutenu un partenariat stratégique entre Rabat et Bruxelles, guidé par un esprit gagnant-gagnant». Il a, par ailleurs, évoqué l'importance des rôles que peuvent jouer les socialistes face aux défis actuels, soulignant à cet égard l’importance pour les forces politiques progressistes d’œuvrer en faveur d'une vision sociétale inclusive et tolérante envers la diversité.
«Nous constatons, malheureusement, que des discours réactionnaires sont de plus en plus présents au sein de nos sociétés et, par conséquent, il est très important d’élaborer des stratégies transcendant les frontières des pays et de faire valoir les liens de fraternité entre gouvernements et partis», a soutenu M. Sanchez qui assure la présidence du Congrès de l'Internationale socialiste en sa qualité de chef du Parti socialiste ouvrier espagnol.
Le congrès, qui s'est tenu samedi et dimanche à Rabat, sous le thème «solutions progressives pour un monde en mutation», a rassemblé des représentants des partis sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes membres de l'Internationale. Les participants se sont penchés sur des sujets aussi diversifiés que «Radicalisation, paix et promotion de la sécurité des personnes», «Le pacte de l’avenir comme outil pour un nouvel internationalisme» et «L'impact socioéconomique des changements climatiques et des désastres naturels».
Driss Lachgar : l’Afrique est capable de s'ériger en modèle pour bâtir un monde plus juste et équilibré
Pour sa part, le premier secrétaire de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), Driss Lachgar a expliqué que l'emplacement stratégique de l'Afrique lui permettait de «faire partie de la solution» aux crises que connaît le monde, grâce aux ressources naturelles immenses du continent, ses potentialités humaines jeunes et ambitieuses, ainsi que ses opportunités économiques à saisir. Il a relevé que le mouvement social-démocrate ambitionnait de bâtir un monde qui consacre la souveraineté nationale des États et préserve l'intégrité de leurs territoires, loin des ingérences étrangères ou de toute hégémonie économique et politique. Il s’agit d’«un monde où chacun jouit d'une véritable justice pour le partage des richesses, et où l'économie devient un moyen pour la réalisation d’un développement collectif», a-t-il dit.D'autre part, M. Lachgar a souligné que le Maroc avait érigé un modèle démocratique singulier au niveau régional et continental, faisant du Royaume un pilier de stabilité régionale et continentale. Il a également relevé la mise en œuvre par le Royaume de grands projets structurants visant à réaliser un développement global et durable, plaçant le citoyen au cœur des priorités et prenant en compte les spécificités des différentes régions, permettant ainsi de réduire les disparités sociales et économiques.
Le premier secrétaire de l'USFP s'est arrêté, par ailleurs, sur les défis politiques, économiques et sécuritaires qui menacent aujourd'hui la sécurité et la stabilité des sociétés à travers le monde, notamment la migration irrégulière, le terrorisme et la traite des êtres humains, appelant à l’adoption de stratégies globales qui s’attaquent aux causes profondes de ces phénomènes, telles que la pauvreté, la marginalisation sociale et l’instabilité politique. En outre, M. Lachgar a estimé que les défis majeurs que connaissait actuellement le monde «nécessitent des positions fermes et une vision équitable», citant en particulier la cause palestinienne qui est l’un des conflits politiques et humanitaires les plus vieux de l'histoire moderne.
Le Congrès de l'Internationale socialiste, qui s'est tenu sous le thème «Solutions progressives pour un monde en mutation», a rassemblé des représentants des partis sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes membres de l'Internationale. Les participants à ce conclave se sont penchés sur des sujets aussi diversifiés que «Radicalisation, paix et promotion de la sécurité des personnes», «Le pacte de l’avenir comme outil pour un nouvel internationalisme» et «L'impact socioéconomique des changements climatiques et des désastres naturels».