Des personnalités maqdessies ont hautement salué l’Initiative de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, d’envoyer une aide humanitaire supplémentaire à la population de Gaza, louant un Geste Royal noble visant à soutenir la résilience des habitants de la Bande face aux conditions difficiles auxquelles ils sont confrontés. Pour Maarouf Al-Rifai, du gouvernorat d’Al-Qods, cette opération traduit « l’engagement constant et sincère » du Souverain en faveur de la cause palestinienne, à un moment où les souffrances des civils s’aggravent. Mazen Al Jaabari a souligné que ce geste généreux renforce la fraternité au sein de la Oumma, tandis que Samer Nasiba a noté que l’envoi répété d’aides en moins d’un mois incarne la solidarité agissante du Royaume. Fadl Tahboub, du Conseil national palestinien, a insisté sur l’impact direct de cette aide, capable d’atténuer immédiatement les pénuries alimentaires et médicales à Gaza.
Les réactions se sont multipliées au-delà de la région. En Palestine, le directeur général de la télévision nationale, Mohammed Al-Barghouti, a relevé que la rapidité et l’efficacité de l’opération reflètent le poids diplomatique du Royaume et le respect dont jouit le Roi. Le politologue sénégalais Bakary Sambe a salué une « prouesse logistique sans précédent » qui a permis d’ouvrir un corridor humanitaire direct malgré les blocus.
Des voix européennes abondent dans le même sens. Pour l’Espagnol Pedro Ignacio Altamirano, cette aide représente « une percée humanitaire et diplomatique » ; le Franco-Suisse Jean Marie Heydt a rappelé que SM le Roi est « le seul Chef d’État capable d’acheminer une aide ciblée aux plus vulnérables » ; et le Français Jérôme Besnard a souligné la singularité d’un acheminement direct là où d’autres se contentent de largages aléatoires. Son compatriote Christophe Boutin a salué une politique marocaine « réaliste et pragmatique », tournée vers l’action concrète plutôt que les effets médiatiques.
En Amérique latine, le geste royal a également été salué. Le journaliste péruvien Ricardo Sanchez Serra a parlé d’« un geste d’espoir » livrant une aide sans intermédiaires. L’ancien ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Rodriguez Mackay a mis en avant la portée symbolique de cette initiative, qui témoigne d’une proximité affective avec le peuple palestinien malgré la distance géographique. En Colombie, le juriste Hernán Alejandro Olano Garcia a qualifié le Maroc de « modèle éloquent d’engagement humanitaire ».
En Europe, l’ancien ministre britannique Andrew Murrison a qualifié cette décision royale de « geste de grande noblesse et de générosité » et appelé d’autres pays à suivre l’exemple du Maroc.
La reconnaissance est aussi venue des Nations Unies. Stéphane Dujarric, porte-parole du Secrétaire général, a salué « la générosité » du Souverain, soulignant que les Gazaouis « manquent de tout » et que la communauté internationale doit faire davantage pour alléger leurs souffrances.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères précise que cette aide humanitaire est composée d’environ 100 tonnes de vivres et de médicaments, spécifiquement destinés aux enfants, aux nourrissons et aux familles les plus vulnérables. Le Roi a tenu à ce qu’elle soit acheminée par avions et livrée directement, dans l’urgence, aux bénéficiaires.
Les réactions se sont multipliées au-delà de la région. En Palestine, le directeur général de la télévision nationale, Mohammed Al-Barghouti, a relevé que la rapidité et l’efficacité de l’opération reflètent le poids diplomatique du Royaume et le respect dont jouit le Roi. Le politologue sénégalais Bakary Sambe a salué une « prouesse logistique sans précédent » qui a permis d’ouvrir un corridor humanitaire direct malgré les blocus.
Des voix européennes abondent dans le même sens. Pour l’Espagnol Pedro Ignacio Altamirano, cette aide représente « une percée humanitaire et diplomatique » ; le Franco-Suisse Jean Marie Heydt a rappelé que SM le Roi est « le seul Chef d’État capable d’acheminer une aide ciblée aux plus vulnérables » ; et le Français Jérôme Besnard a souligné la singularité d’un acheminement direct là où d’autres se contentent de largages aléatoires. Son compatriote Christophe Boutin a salué une politique marocaine « réaliste et pragmatique », tournée vers l’action concrète plutôt que les effets médiatiques.
En Amérique latine, le geste royal a également été salué. Le journaliste péruvien Ricardo Sanchez Serra a parlé d’« un geste d’espoir » livrant une aide sans intermédiaires. L’ancien ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Rodriguez Mackay a mis en avant la portée symbolique de cette initiative, qui témoigne d’une proximité affective avec le peuple palestinien malgré la distance géographique. En Colombie, le juriste Hernán Alejandro Olano Garcia a qualifié le Maroc de « modèle éloquent d’engagement humanitaire ».
En Europe, l’ancien ministre britannique Andrew Murrison a qualifié cette décision royale de « geste de grande noblesse et de générosité » et appelé d’autres pays à suivre l’exemple du Maroc.
La reconnaissance est aussi venue des Nations Unies. Stéphane Dujarric, porte-parole du Secrétaire général, a salué « la générosité » du Souverain, soulignant que les Gazaouis « manquent de tout » et que la communauté internationale doit faire davantage pour alléger leurs souffrances.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères précise que cette aide humanitaire est composée d’environ 100 tonnes de vivres et de médicaments, spécifiquement destinés aux enfants, aux nourrissons et aux familles les plus vulnérables. Le Roi a tenu à ce qu’elle soit acheminée par avions et livrée directement, dans l’urgence, aux bénéficiaires.
