Les infractions liées à la cybercriminalité, à l’extorsion et au chantage sur Internet ont augmenté de 40% avec 8.333 affaires, selon le bilan 2024 de la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Le nombre de contenus associés au chantage détectés a atteint 3.265, précise la même source. Le nombre de mandats internationaux dans le cadre de ces affaires s’est chiffré à 956, tandis que le nombre de personnes interpellées présentées devant la justice pour ce type de délits a atteint 563.
Dans le détail, les affaires de sextorsion à l’aide d’outils informatiques ont marqué un recul notable de 23% avec 391 affaires, qui se sont soldées par l’interpellation de 163 individus impliqués dans la perpétration de ces actes criminels ayant ciblé 394 victimes, dont 123 étrangers.
Par ailleurs, la plateforme « E-blagh », dédiée aux signalements par les citoyens des infractions commises sur Internet, a reçu, depuis sa mise en service en juin 2024, un total de 12.614 signalements qui ont été traitées conformément à la loi. Il s’agit d’infractions de diffamation, d’incitation et de menaces de commettre des actes criminels d’extorsion sur Internet, d’usurpation d’identité et d’apologie du terrorisme.
Cette baisse significative est le résultat de l’interaction positive de la part des citoyens à travers le signalement immédiat des faux contenus via la plateforme E-Blagh et les comptes de la Sûreté nationale sur les réseaux sociaux, qui ont haussé les niveaux de confiance dans les services de sécurité, ainsi que leur réactivité avec les signalements des citoyens et l’adoption d’une approche de communication proactive pour mettre fin aux rumeurs et la désinformation qui nuisent au sentiment de sécurité.
Quant aux contenus violents publiés sur les réseaux sociaux, qui ont des répercussions négatives sur le sentiment de sécurité, les services de veille de la DGSN ont visionné cette année 208 contenus sur des actes criminels ou contenant des scènes de violence, contre 260 contenus l'année précédente, qui ont fait l’objet des expertises techniques et interventions sécuritaires nécessaires, en soumettant les personnes impliquées à des enquêtes judiciaires, accompagnées de communiqués destinés à éclairer l'opinion publique et à renforcer son sentiment de sécurité.
Afin de renforcer la communication numérique et les publications sur les réseaux sociaux, les services de la Sûreté nationale ont publié au cours de cette année 534 contenus sur leurs comptes officiels sur les différents sites de réseaux sociaux, qui comptent 1.197.335 abonnés, répartis comme suit : 500.550 abonnés sur le réseau X (Twitter auparavant), 472.285 sur Facebook et 224.500 sur Instagram.
Dans le détail, les affaires de sextorsion à l’aide d’outils informatiques ont marqué un recul notable de 23% avec 391 affaires, qui se sont soldées par l’interpellation de 163 individus impliqués dans la perpétration de ces actes criminels ayant ciblé 394 victimes, dont 123 étrangers.
Par ailleurs, la plateforme « E-blagh », dédiée aux signalements par les citoyens des infractions commises sur Internet, a reçu, depuis sa mise en service en juin 2024, un total de 12.614 signalements qui ont été traitées conformément à la loi. Il s’agit d’infractions de diffamation, d’incitation et de menaces de commettre des actes criminels d’extorsion sur Internet, d’usurpation d’identité et d’apologie du terrorisme.
Baisse significative des fake news en 2024
Le rapport 2024 de la DGSN souligne une baisse significative du nombre des fausses informations qui affectent le sentiment de sécurité des citoyens, comme en témoigne le nombre de mises au point publiées cette année, au nombre de 40 contre 340 en 2017 et 288 en 2018.Cette baisse significative est le résultat de l’interaction positive de la part des citoyens à travers le signalement immédiat des faux contenus via la plateforme E-Blagh et les comptes de la Sûreté nationale sur les réseaux sociaux, qui ont haussé les niveaux de confiance dans les services de sécurité, ainsi que leur réactivité avec les signalements des citoyens et l’adoption d’une approche de communication proactive pour mettre fin aux rumeurs et la désinformation qui nuisent au sentiment de sécurité.
Quant aux contenus violents publiés sur les réseaux sociaux, qui ont des répercussions négatives sur le sentiment de sécurité, les services de veille de la DGSN ont visionné cette année 208 contenus sur des actes criminels ou contenant des scènes de violence, contre 260 contenus l'année précédente, qui ont fait l’objet des expertises techniques et interventions sécuritaires nécessaires, en soumettant les personnes impliquées à des enquêtes judiciaires, accompagnées de communiqués destinés à éclairer l'opinion publique et à renforcer son sentiment de sécurité.
Afin de renforcer la communication numérique et les publications sur les réseaux sociaux, les services de la Sûreté nationale ont publié au cours de cette année 534 contenus sur leurs comptes officiels sur les différents sites de réseaux sociaux, qui comptent 1.197.335 abonnés, répartis comme suit : 500.550 abonnés sur le réseau X (Twitter auparavant), 472.285 sur Facebook et 224.500 sur Instagram.