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En vue de renforcer la coopération culturelle entre le Maroc et la France, Rachida Dati a effectué une visite officielle du 16 au 18 février dans les provinces du Sud. Accompagnée de Mohammed Mehdi Bensaïd, ministre marocain de la Jeunesse, de la culture et de la communication, elle s’est rendue notamment à Tarfaya, Laâyoune et Dakhla.
Son nouveau tweet du 17 février dernier était lui aussi pétri de méchanceté et d’acrimonie. «Pauvre André Malraux, l’immense ministre de la Culture du Général de Gaulle ! Derrière son bureau de représentante de la Culture française.@datirachida a placé, bien en vue, la photo d’une femme portant un voile», a-t-elle écrit. Sauf que la femme en voile n’est autre que la maman décédée de la ministre d’origine marocaine. Aveuglée par sa haine, elle ne s’est donc pas donné la peine de comprendre et de contextualiser avant d’attaquer celle qui incarne un modèle d’intégration et de symbiose maroco-française.
D’autres figures politiques ont également condamné les propos de Malika Sorel. Philippe Bouriachi, conseiller municipal et régional en Île-de-France, a publié un message tranchant sur X : «Le concours Lépine de la haine gratuite est officiellement ouvert et Mme @MalikaSorel prend la première position. Pour rappel, Mme Sorel, la photo en question, il s’agit de la défunte mère de Mme @datirachida. Vous êtes comme tous ces charognards en mal d’amour...»
Maxime Boudet, ancien conseiller ministériel, a également réagi en tweetant : «@datirachida affiche fièrement une photo de ses parents dans son bureau. Et vous ? Trop occupés à trahir vos racines pour la gamelle pour en faire autant ? Vous êtes ignoble et infâme.» Malgré la méchanceté et l’incongruité de l’attaque, Rachida Dati a choisi de ne pas réagir. La ministre d’origine marocaine, fidèle à ses racines. En son for intérieur, elle se répétait probablement : la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.
Une visite officielle aux enjeux diplomatiques importants
La visite, qui s’inscrit dans le prolongement de la nouvelles dynamique que connaissent les relations entre Rabat et Paris, a connu un succès tel que Mme Dati a qualifié son déplacement d’«historique». Cette visite «démontre que le présent et l’avenir de cette région s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine», a-t-elle déclaré, réaffirmant ainsi la position de la France sur ce dossier. «C’est la première fois qu’un ministre français vient dans les provinces du Sud», a-t-elle précisé. Une déclaration qui a fait grincer des dents ceux et celles qui ne voient pas d’un bon œil le rapprochement entre le Maroc et la France et la nouvelle feuille de route ambitieuse que les deux Chefs d’État ont établie. Et incontestablement Malika Sorel en fait partie. Cette dernière, pour rappel, avait déjà exprimé son désaccord avec la position prise par Emmanuel Macron dans la lettre qu’il avait envoyée en juillet 2024 à S.M. le Roi et dans laquelle le Président français reconnaissait sans équivoque la souveraineté du Royaume sur ses provinces sahariennes. «L’État français aurait dû rester neutre», avait-elle écrit sur X en réaction à la Lettre de Macron. Difficile de ne pas faire le lien entre ce tweet aigre et les origines algériennes de l’eurodéputée qui en tous cas a vu dans la visite réussie de Rachid Dati une occasion pour déverser son fiel sur tout ce qui incarne la concorde maroco-française.Son nouveau tweet du 17 février dernier était lui aussi pétri de méchanceté et d’acrimonie. «Pauvre André Malraux, l’immense ministre de la Culture du Général de Gaulle ! Derrière son bureau de représentante de la Culture française.@datirachida a placé, bien en vue, la photo d’une femme portant un voile», a-t-elle écrit. Sauf que la femme en voile n’est autre que la maman décédée de la ministre d’origine marocaine. Aveuglée par sa haine, elle ne s’est donc pas donné la peine de comprendre et de contextualiser avant d’attaquer celle qui incarne un modèle d’intégration et de symbiose maroco-française.
Réactions de condamnation
Il n’en fallait pas plus pour qu’une vague d’indignation se déclenche. Les propos de Mme Sorel ont suscité de vives réactions, tant du côté de la classe politique que de l’opinion publique. Plusieurs voix ont dénoncé une atteinte inacceptable à la mémoire d’une personne décédée. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses personnalités se sont dit scandalisés, qualifiant ces critiques d’irrespectueuses et déplacées. Du côté des personnalités politiques qui ont exprimé leur indignation et leur soutien à Mme Dati, on trouve notamment le ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, qui a fustigé une attaque «injustifiée». Sur un ton ironique il a écrit : «Pauvre André Malraux instrumentalisé pour justifier une logorrhée médiocre et insultante contre un ministre qui rend hommage à ses parents. Quelle honte. Soutien @datirachida.»D’autres figures politiques ont également condamné les propos de Malika Sorel. Philippe Bouriachi, conseiller municipal et régional en Île-de-France, a publié un message tranchant sur X : «Le concours Lépine de la haine gratuite est officiellement ouvert et Mme @MalikaSorel prend la première position. Pour rappel, Mme Sorel, la photo en question, il s’agit de la défunte mère de Mme @datirachida. Vous êtes comme tous ces charognards en mal d’amour...»
Maxime Boudet, ancien conseiller ministériel, a également réagi en tweetant : «@datirachida affiche fièrement une photo de ses parents dans son bureau. Et vous ? Trop occupés à trahir vos racines pour la gamelle pour en faire autant ? Vous êtes ignoble et infâme.» Malgré la méchanceté et l’incongruité de l’attaque, Rachida Dati a choisi de ne pas réagir. La ministre d’origine marocaine, fidèle à ses racines. En son for intérieur, elle se répétait probablement : la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.
