La Commission interministérielle chargée du suivi de l'approvisionnement, des prix et des opérations de contrôle, réunie mercredi, a assuré que les marchés nationaux, en ce début du mois sacré de Ramadan, sont approvisionnés en produits alimentaires et énergétiques de manière abondante et diversifiée.
En se basant sur les rapports des départements chargées de surveiller quotidiennement les marchés des produits les plus consommés, la commission affirme que les marchés sont approvisionnés, de manière abondante et diversifiée, en produits alimentaires et énergétiques, et que l'offre couvre les besoins en toutes les marchandises et produits consommés pendant le mois de Ramadan, pour plusieurs semaines ou plusieurs mois selon la nature des biens, indique la Direction de la Concurrence, des prix et de la compensation dans un communiqué sur la 1ère réunion de cette commission durant ce mois sacré.
En ce qui concerne les prix des produits de consommation de base, ceux des légumes ont connu ces derniers jours des baisses significatives, variant entre 12% et 38% par rapport au début de cette année et entre 36% et 50% comparativement à la même période un an auparavant.
Les prix des tomates sont négociés le premier jour du Ramadan à un prix moyen de 5 dirhams par kilogramme (DH/KG), contre plus de 10 DH/KG au cours de la même période de 2023.
Quant au prix moyen des pommes de terre, il est de 4,5 DH/KG, comparé à 9 DH/KG l'année dernière, tandis que le prix moyen des oignons secs est de 6,5 DH/KG, soit moins de la moitié du prix pratiqué en 2023 pendant le Ramadan, qui était de plus de 14 DH/KG.
Outre les prix des légumes, les prix d'autres produits ont enregistré des baisses relatives au cours des dernières semaines, tels que les dérivés du blé, les huiles de table et le beurre.
Cette commission s'est réunie sous la présidence du ministère de l'Economie et des finances, en présence de représentants des départements ministériels chargés de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Pêche maritime, de l'Industrie et du Commerce, de la Transition énergétique et des établissements publics concernés.
En se basant sur les rapports des départements chargées de surveiller quotidiennement les marchés des produits les plus consommés, la commission affirme que les marchés sont approvisionnés, de manière abondante et diversifiée, en produits alimentaires et énergétiques, et que l'offre couvre les besoins en toutes les marchandises et produits consommés pendant le mois de Ramadan, pour plusieurs semaines ou plusieurs mois selon la nature des biens, indique la Direction de la Concurrence, des prix et de la compensation dans un communiqué sur la 1ère réunion de cette commission durant ce mois sacré.
En ce qui concerne les prix des produits de consommation de base, ceux des légumes ont connu ces derniers jours des baisses significatives, variant entre 12% et 38% par rapport au début de cette année et entre 36% et 50% comparativement à la même période un an auparavant.
Les prix des tomates sont négociés le premier jour du Ramadan à un prix moyen de 5 dirhams par kilogramme (DH/KG), contre plus de 10 DH/KG au cours de la même période de 2023.
Quant au prix moyen des pommes de terre, il est de 4,5 DH/KG, comparé à 9 DH/KG l'année dernière, tandis que le prix moyen des oignons secs est de 6,5 DH/KG, soit moins de la moitié du prix pratiqué en 2023 pendant le Ramadan, qui était de plus de 14 DH/KG.
Outre les prix des légumes, les prix d'autres produits ont enregistré des baisses relatives au cours des dernières semaines, tels que les dérivés du blé, les huiles de table et le beurre.
Les prix des poissons affichent une hausse durant les premiers jours de Ramadan
Parallèlement, les prix des autres produits sont restés stables, à l'exception des prix des poissons, qui ont connu quelques hausses durant les premiers jours de Ramadan en raison de certaines pénuries au niveau de l'offre, principalement dues aux mauvaises conditions météorologiques qui ont empêché la sortie des bateaux de pêche, ainsi que de la période de reproduction de certaines espèces de poissons, ce qui a entraîné leur indisponibilité. De plus, la demande des poissons connaît généralement une augmentation pendant ce mois sacré.Cette commission s'est réunie sous la présidence du ministère de l'Economie et des finances, en présence de représentants des départements ministériels chargés de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Pêche maritime, de l'Industrie et du Commerce, de la Transition énergétique et des établissements publics concernés.