Connexion
"La Gambie souhaite exprimer son ferme soutien à l'initiative marocaine d'autonomie", a souligné la représentante de la Gambie devant les membres de la 4è commission de l’Assemblée générale de l’ONU.
Elle a souligné que ce plan, conforme au droit international et qualifié de sérieux et crédible dans les résolutions successives du Conseil de sécurité depuis 2007, constitue un “compromis sérieux et une solution viable” et durable au différend régional autour du Sahara marocain.
Soulignant le soutien international “massif” à l'initiative d’autonomie, la diplomate gambienne a relevé que ce plan présenté par le Maroc en 2007 “prend en considération, de manière crédible, la question de l’autodétermination”. La diplomate a également indiqué que toute discussion sur la question du Sahara doit prendre en considération la souveraineté du Maroc et son intégrité territoriale, saluant au passage “l'esprit coopératif” dont le Royaume fait preuve avec toutes les parties prenantes pour résoudre ce conflit régional artificiel.
L’intervenante a, de même, appelé à la reprise du processus des tables rondes avec toutes les parties concernées, en droite ligne de la résolution 2654 du Conseil de sécurité, et dans un esprit d’engagement positif pour parvenir à une solution politique pragmatique et durable, basée sur le réalisme et le compromis. Elle a, en outre, salué la participation des représentants du Sahara marocain dans les précédentes tables rondes à Genève ainsi que lors des sessions annuelles du Comité des 24 de l’ONU.
La diplomate gambienne a salué les efforts du Secrétaire général de l’ONU et de son Envoyé personnel, Staffan de Mistura, visant à relancer le processus politique, notamment ses récentes visites au Maroc, en Algérie et en Mauritanie, ajoutant que durant sa visite au Sahara marocain, M. de Mistura a rencontré les présidents des régions de Laâyoune et Dakhla, des représentants des autorités élues et de la société civile, ainsi que des groupes de jeunes et de femmes.
La représentante de la Gambie a, par ailleurs, mis en avant la trajectoire de développement transformationnel que connaissent les régions du Sahara, fruit des investissements d’envergure engagés par le Maroc à travers le nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud lancé en 2015. “Cette initiative transforme la région en une plaque tournante du développement et des opportunités économiques attractives et a un grand potentiel pour contribuer à une paix durable”, a-t-elle dit.
Elle a souligné que ce plan, conforme au droit international et qualifié de sérieux et crédible dans les résolutions successives du Conseil de sécurité depuis 2007, constitue un “compromis sérieux et une solution viable” et durable au différend régional autour du Sahara marocain.
Soulignant le soutien international “massif” à l'initiative d’autonomie, la diplomate gambienne a relevé que ce plan présenté par le Maroc en 2007 “prend en considération, de manière crédible, la question de l’autodétermination”. La diplomate a également indiqué que toute discussion sur la question du Sahara doit prendre en considération la souveraineté du Maroc et son intégrité territoriale, saluant au passage “l'esprit coopératif” dont le Royaume fait preuve avec toutes les parties prenantes pour résoudre ce conflit régional artificiel.
L’intervenante a, de même, appelé à la reprise du processus des tables rondes avec toutes les parties concernées, en droite ligne de la résolution 2654 du Conseil de sécurité, et dans un esprit d’engagement positif pour parvenir à une solution politique pragmatique et durable, basée sur le réalisme et le compromis. Elle a, en outre, salué la participation des représentants du Sahara marocain dans les précédentes tables rondes à Genève ainsi que lors des sessions annuelles du Comité des 24 de l’ONU.
La diplomate gambienne a salué les efforts du Secrétaire général de l’ONU et de son Envoyé personnel, Staffan de Mistura, visant à relancer le processus politique, notamment ses récentes visites au Maroc, en Algérie et en Mauritanie, ajoutant que durant sa visite au Sahara marocain, M. de Mistura a rencontré les présidents des régions de Laâyoune et Dakhla, des représentants des autorités élues et de la société civile, ainsi que des groupes de jeunes et de femmes.
La représentante de la Gambie a, par ailleurs, mis en avant la trajectoire de développement transformationnel que connaissent les régions du Sahara, fruit des investissements d’envergure engagés par le Maroc à travers le nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud lancé en 2015. “Cette initiative transforme la région en une plaque tournante du développement et des opportunités économiques attractives et a un grand potentiel pour contribuer à une paix durable”, a-t-elle dit.
