La nouvelle position du Royaume-Uni a été exprimée dimanche 1er juin par dans un Communiqué conjoint signé, par le secrétaire d’État britannique aux Affaires étrangères, au Commonwealth et au développement, David Lammy, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. Le Royaume-Uni a déclaré dimanche dernier qu’il «considère la proposition d’autonomie, présentée [par le Maroc] en 2007, comme la base la plus crédible, viable et pragmatique pour un règlement durable du différend» régional autour du Sahara marocain, et «continuera d’agir sur le plan bilatéral, notamment en matière économique, ainsi que sur les plans régional et international, conformément à cette position, afin de soutenir le règlement du différend». Ce Communiqué conjoint souligne que «le Royaume-Uni suit de près la dynamique positive actuelle menée à cet égard sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI». Il ajoute que Londres «reconnaît l’importance de la question du Sahara» pour le Maroc, précisant que la résolution de ce différend régional «renforcerait la stabilité de l’Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l’intégration régionale».
La position du Royaume-Uni intervient quelques jours seulement après une percée diplomatique majeure ayant marqué la chute d’un des plus importants bastions du polisario en Afrique de l’Est, le Kenya. La République du Kenya considère désormais le Plan marocain d’autonomie comme la seule approche durable pour résoudre la question du Sahara et salue le consensus international croissant et la dynamique menée par Sa Majesté le Roi en faveur de ce plan. Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint publié, le 26 mai, à l’issue d’une réunion entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de la diaspora de la République du Kenya, Musalia Mudavadi. Dans ce Communiqué conjoint, le Kenya «considère le plan d’autonomie comme la seule approche durable pour la résolution de la question du Sahara et entend coopérer avec les États ayant la même vision pour favoriser sa mise en œuvre».
Ces évolutions positives s’inscrivent dans le cadre de la dynamique internationale impulsée, depuis des années, par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en faveur de la marocanité du Sahara et en appui à l’Initiative marocaine d’autonomie. En effet, grâce à cette dynamique, la question de l’intégrité territoriale du Royaume vit au rythme de succès retentissants, en particulier depuis janvier 2025. Ainsi, le 7 janvier 2025, le Ghana a décidé de retirer sa reconnaissance à la pseudo «rasd», marquant sa volonté de s’inscrire pleinement dans cette dynamique vertueuse internationale, et se joignant ainsi aux décisions récentes du Panama et de l’Équateur, à la fin de l’année 2024, sachant que plus de 85% des États membres des Nations unies ne reconnaissent pas l’entité fantoche. De même, plus de 30 pays ont réaffirmé leur plein soutien à la marocanité du Sahara et à l’Initiative marocaine d’autonomie, comme seule et unique solution politique à ce différend régional, élargissant le cercle des appuis à la marocanité du Sahara et à l’Initiative d’autonomie à 116 pays dans le monde, soit plus de 60% des États membres de l’ONU. Parmi ces pays, figurent les États-Unis, qui ont réitéré leur reconnaissance de la pleine souveraineté du Maroc sur le Sahara et réaffirmé leur soutien à la proposition sérieuse, crédible et réaliste d’autonomie comme seule base pour une solution juste et durable à ce différend. La France a, elle aussi, réitéré sa position constante à trois reprises depuis le discours prononcé par le Président français, Emmanuel Macron, devant le Parlement marocain, en octobre 2024. Cette même dynamique a été confortée par les positions exprimées par les six pays du Conseil de coopération du Golfe, en plus de plusieurs États d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie centrale.
Suite à la récente tournée du ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger dans plusieurs capitales européennes, quatre pays européens ont réaffirmé leur position constante et deux nouveaux, la Croatie et la Moldavie, ont affirmé qu’ils considéraient désormais l’Initiative marocaine d’autonomie comme la base la plus sérieuse pour régler ce différend régional. De son côté, la Hongrie a aussi pris des décisions politiques pour opérationnaliser sa récente position, notamment l’envoi de son ambassadeur au Sahara marocain et l’élargissement de ses services consulaires, y compris aux provinces du Sud. Pour sa part, la Slovénie, par la voix de sa vice-Première ministre et ministre des Affaires étrangères, Tanja Fajon, a souligné, qu’elle appréciait l’initiative d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007, comme une bonne base pour une solution définitive du différend régional créé autour du Sahara marocain. Cette position de la Slovénie, actuellement membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a été exprimée lors d’une conférence de presse suite à des entretiens dans la capitale slovène entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et Mme Fajon.
La question du Sahara marocain connaît ainsi une évolution notable sur la scène internationale, marquée par un soutien croissant à l’initiative d’autonomie, 22 États membres de l’Union européenne ayant officiellement exprimé leur soutien à cette solution. Sur le terrain, ce soutien clair à la marocanité du Sahara s’est concrétisé par la tenue, le 17 janvier 2025 à Laâyoune, de deux commissions mixtes avec la Côte d’Ivoire et le Liberia, qui ont exprimé leur volonté de contribuer à l’élan de développement socio-économique à la lumière des Initiatives Royales sur l’Atlantique, à savoir l’Initiative sur le «Processus des États de l’Afrique atlantique», «l’Initiative Royale visant à faciliter l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique», et le projet du «Gazoduc africain atlantique Nigeria-Maroc», outre des projets structurants engagés dans le cadre du nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud, à l’image du Port Dakhla Atlantique.
26-05-2025
25-05-2025
22-05-2025
18-04-2025
17-04-2025
16-04-2025
16-04-2025
16-04-2025
15-04-2025
15-04-2025
15-04-2025
13-04-2025
08-04-2025
Deux jours plus tard, Lisa Kenna, haute responsable américaine, a assuré que «Le seul cadre réaliste et durable pour résoudre ce conflit est l’autonomie sous souveraineté marocaine». La déclaration de Lisa Kenna, émise lors de sa rencontre avec Staffan de Mistura, envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, enterre définitivement deux décennies d’ambiguïtés diplomatiques américaines sur cette question. Depuis la reconnaissance historique opérée par Donald Trump en décembre 2020, et confirmée implicitement sous Joe Biden, la diplomatie américaine n’a cessé de consolider son soutien au Maroc. Mais cette fois, c’est une étape supplémentaire, décisive, qui est franchie: les États-Unis ne se contentent plus de reconnaître une souveraineté, ils prennent activement parti pour une solution politique claire, celle de l’autonomie sous souveraineté marocaine, jugée réaliste et durable. Cette déclaration n’est pas isolée.
01-03-2025
07-01-2025
La position du Royaume-Uni intervient quelques jours seulement après une percée diplomatique majeure ayant marqué la chute d’un des plus importants bastions du polisario en Afrique de l’Est, le Kenya. La République du Kenya considère désormais le Plan marocain d’autonomie comme la seule approche durable pour résoudre la question du Sahara et salue le consensus international croissant et la dynamique menée par Sa Majesté le Roi en faveur de ce plan. Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint publié, le 26 mai, à l’issue d’une réunion entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de la diaspora de la République du Kenya, Musalia Mudavadi. Dans ce Communiqué conjoint, le Kenya «considère le plan d’autonomie comme la seule approche durable pour la résolution de la question du Sahara et entend coopérer avec les États ayant la même vision pour favoriser sa mise en œuvre».
Ces évolutions positives s’inscrivent dans le cadre de la dynamique internationale impulsée, depuis des années, par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en faveur de la marocanité du Sahara et en appui à l’Initiative marocaine d’autonomie. En effet, grâce à cette dynamique, la question de l’intégrité territoriale du Royaume vit au rythme de succès retentissants, en particulier depuis janvier 2025. Ainsi, le 7 janvier 2025, le Ghana a décidé de retirer sa reconnaissance à la pseudo «rasd», marquant sa volonté de s’inscrire pleinement dans cette dynamique vertueuse internationale, et se joignant ainsi aux décisions récentes du Panama et de l’Équateur, à la fin de l’année 2024, sachant que plus de 85% des États membres des Nations unies ne reconnaissent pas l’entité fantoche. De même, plus de 30 pays ont réaffirmé leur plein soutien à la marocanité du Sahara et à l’Initiative marocaine d’autonomie, comme seule et unique solution politique à ce différend régional, élargissant le cercle des appuis à la marocanité du Sahara et à l’Initiative d’autonomie à 116 pays dans le monde, soit plus de 60% des États membres de l’ONU. Parmi ces pays, figurent les États-Unis, qui ont réitéré leur reconnaissance de la pleine souveraineté du Maroc sur le Sahara et réaffirmé leur soutien à la proposition sérieuse, crédible et réaliste d’autonomie comme seule base pour une solution juste et durable à ce différend. La France a, elle aussi, réitéré sa position constante à trois reprises depuis le discours prononcé par le Président français, Emmanuel Macron, devant le Parlement marocain, en octobre 2024. Cette même dynamique a été confortée par les positions exprimées par les six pays du Conseil de coopération du Golfe, en plus de plusieurs États d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie centrale.
Suite à la récente tournée du ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger dans plusieurs capitales européennes, quatre pays européens ont réaffirmé leur position constante et deux nouveaux, la Croatie et la Moldavie, ont affirmé qu’ils considéraient désormais l’Initiative marocaine d’autonomie comme la base la plus sérieuse pour régler ce différend régional. De son côté, la Hongrie a aussi pris des décisions politiques pour opérationnaliser sa récente position, notamment l’envoi de son ambassadeur au Sahara marocain et l’élargissement de ses services consulaires, y compris aux provinces du Sud. Pour sa part, la Slovénie, par la voix de sa vice-Première ministre et ministre des Affaires étrangères, Tanja Fajon, a souligné, qu’elle appréciait l’initiative d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007, comme une bonne base pour une solution définitive du différend régional créé autour du Sahara marocain. Cette position de la Slovénie, actuellement membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, a été exprimée lors d’une conférence de presse suite à des entretiens dans la capitale slovène entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et Mme Fajon.
La question du Sahara marocain connaît ainsi une évolution notable sur la scène internationale, marquée par un soutien croissant à l’initiative d’autonomie, 22 États membres de l’Union européenne ayant officiellement exprimé leur soutien à cette solution. Sur le terrain, ce soutien clair à la marocanité du Sahara s’est concrétisé par la tenue, le 17 janvier 2025 à Laâyoune, de deux commissions mixtes avec la Côte d’Ivoire et le Liberia, qui ont exprimé leur volonté de contribuer à l’élan de développement socio-économique à la lumière des Initiatives Royales sur l’Atlantique, à savoir l’Initiative sur le «Processus des États de l’Afrique atlantique», «l’Initiative Royale visant à faciliter l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique», et le projet du «Gazoduc africain atlantique Nigeria-Maroc», outre des projets structurants engagés dans le cadre du nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud, à l’image du Port Dakhla Atlantique.
Dates clés
01-06-2025En soutien au plan marocain d’autonomie, le Royaume-Uni considère ce plan comme «la base la plus crédible, viable et pragmatique pour régler le différend»
Le Royaume-Uni «considère la proposition d’autonomie, présentée [par le Maroc] en 2007, comme la base la plus crédible, viable et pragmatique pour un règlement durable du différend» régional autour du Sahara marocain, et «continuera d’agir sur le plan bilatéral, notamment en matière économique, ainsi que sur les plans régional et international, conformément à cette position, afin de soutenir le règlement du différend». Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint signé à Rabat, par le secrétaire d’État britannique aux Affaires étrangères, au Commonwealth et au développement, David Lammy, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. Ce Communiqué conjoint souligne que «le Royaume-Uni suit de près la dynamique positive actuelle menée à cet égard sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI». Il ajoute que Londres «reconnaît l’importance de la question du Sahara» pour le Maroc, précisant que la résolution de ce différend régional «renforcerait la stabilité de l’Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l’intégration régionale».26-05-2025
Le Kenya considère le plan marocain d’autonomie comme la seule approche durable pour résoudre la question du Sahara
La République du Kenya considère le Plan marocain d’autonomie comme la seule approche durable pour résoudre la question du Sahara et salue le consensus international croissant et la dynamique menée par Sa Majesté le Roi en faveur de ce plan. Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint publié, à l’issue d’une réunion entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de la diaspora de la République du Kenya, Musalia Mudavadi. Dans ce Communiqué conjoint, le Kenya «considère le plan d’autonomie comme la seule approche durable pour la résolution de la question du Sahara et entend coopérer avec les États ayant la même vision pour favoriser sa mise en œuvre».25-05-2025
Le Salvador confirme son appui à Rabat et envisage l’ouverture d’un consulat à Laâyoune
En marge de l’investiture du Président équatorien Daniel Noboa, San Salvador a réaffirmé son soutien stratégique à la souveraineté marocaine sur le Sahara, avec à la clé un projet de consulat à Laâyoune et un alignement de plus en plus net avec Rabat. En effet, lors de la cérémonie d’investiture du Président équatorien Daniel Noboa, tenue le 24 mai 2025 à Quito, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a tenu une réunion bilatérale avec le vice-président salvadorien, Félix Ulloa. L’occasion pour les deux pays de réaffirmer une alliance construite sur des bases diplomatiques solides... mais aussi sur un positionnement politique de plus en plus affirmé. Dans un message publié sur le réseau X (anciennement Twitter), le vice-président du Salvador a mis en avant la portée de cette rencontre, de même qu’il a annoncé avoir discuté avec Nasser Bourita de l’éventuelle ouverture d’un consulat à Laâyoune, qualifiée d’«étape clé vers la reconnaissance de la souveraineté territoriale marocaine dans cette région».22-05-2025
La Slovaquie reconnaît l’Initiative marocaine d’autonomie «comme base pour une solution définitive, sous l’égide des Nations unies»
«La Slovaquie reconnaît l’initiative marocaine, présentée au Secrétaire général des Nations unies le 11 avril 2007, comme base pour une solution définitive, sous l’égide des Nations unies», de la question du Sahara marocain. Cette position a été exprimée par la République slovaque dans la Déclaration conjointe signée à l’issue d’une rencontre à Rabat, entre le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et son homologue slovaque, Juraj Blanár, ministre des Affaires étrangères et européennes. Par ailleurs, «la Slovaquie salue les efforts sérieux et crédibles du Maroc pour faire avancer le processus politique vers une résolution, et soutient une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, fondée sur le compromis, en conformité avec les principes et buts de la Charte des Nations unies, dans le cadre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité», lit-on dans la Déclaration conjointe.18-04-2025
La Slovénie apprécie l’initiative marocaine d’autonomie comme une bonne base pour une solution définitive du différend régional autour du Sahara marocain
La vice-Première ministre et ministre des Affaires étrangères slovène, Tanja Fajon, a souligné que son pays appréciait l’initiative d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007, comme une bonne base pour une solution définitive du différend régional créé autour du Sahara marocain. Mme Fajon, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse suite à des entretiens dans la capitale slovène avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a également salué les efforts sérieux et crédibles du Maroc pour régler la question du Sahara. La ministre slovène réaffirme, ainsi, la position exprimée par son pays au sujet du Sahara marocain dans la Déclaration politique du 11 juin 2024, adoptée lors de la visite officielle de Mme Fajon à Rabat.17-04-2025
L’Espagne réaffirme que l’Initiative d’autonomie est «la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution du différend» régional autour du Sahara marocain
L’Espagne a réaffirmé que l’initiative d’autonomie était «la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution du différend» régional autour du Sahara marocain. Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une rencontre, à Madrid, avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la coopération, José Manuel Albares Bueno, a tenu à rappeler que l’Espagne reconnaissait l’importance de la question du Sahara pour le Maroc, ainsi que les efforts sérieux et crédibles du Royaume dans le cadre des Nations unies pour trouver une solution mutuellement acceptable. À ce titre, l’Espagne considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007, comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend.16-04-2025
Le Parlacen réaffirme son soutien à l’initiative d’autonomie comme «solution réaliste» au différend régional autour du Sahara marocain
Le Parlement centraméricain (Parlacen) a affirmé respecter l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc et sa souveraineté sur l’ensemble de ses territoires, réitérant son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie dans les provinces du Sud en tant que «solution réaliste et crédible à ce différend régional». Exprimée dans la «Déclaration de Laâyoune» adoptée à l’issue des travaux de la réunion conjointe, tenue à Laâyoune, en commémoration du 10e anniversaire de l’adhésion du Parlement du Maroc au Parlacen en tant que membre observateur permanent, cette position met en valeur l’effort de développement socio-économique constaté de visu lors de la visite effectuée par une délégation de cette institution régionale dans les provinces du Sud. Elle s’inscrit dans la droite ligne des valeurs du Parlement centraméricain, fondées sur la non-ingérence dans les affaires intérieures des États, le respect de leur souveraineté, ainsi que la recherche de solutions pacifiques et le dialogue.16-04-2025
La Hongrie réaffirme son soutien au plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007 et considère qu’il «doit être la base pour la solution»
La Hongrie a réaffirmé par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Peter Szijjártó, son soutien au plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007, considérant qu’il «doit être la base pour la solution» de la question du Sahara marocain, dans le cadre des Nations unies. Le ministre a aussi ajouté que son pays avait relevé les positions réaffirmées par les États-Unis et la France à cet égard. Cette position a été exprimée par M. Szijjártó dans une déclaration à la presse, suite à ses entretiens, à Budapest, avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.16-04-2025
La Croatie considère le plan d’autonomie comme «une bonne base» pour parvenir à une solution politique au différend régional autour du Sahara marocain
La République de Croatie considère le plan d’autonomie, proposé par le Maroc en 2007 pour régler le différend régional autour de son Sahara, comme «une bonne base pour parvenir à une solution politique» à cette question. Cette position a été exprimée par le ministre croate des Affaires étrangères et européennes, Gordan Grlic-Radman, dans une Déclaration conjointe adoptée suite à des entretiens dans la capitale croate, avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. La République de Croatie considère aussi le plan d’autonomie comme «un effort sérieux et crédible» et «une bonne base pour parvenir à une solution politique mutuellement acceptable conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies», a dit M. Grlic-Radman.15-04-2025
La Moldavie appuie le plan d’autonomie et le considère comme «la base la plus sérieuse et crédible pour le règlement du différend» autour du Sahara marocain
La Moldavie a exprimé, à Chisinau, son appui au plan d’autonomie présenté par le Maroc pour régler définitivement le différend régional autour de son Sahara, le considérant comme «la base la plus sérieuse et crédible» pour le règlement de ce différend. Ce soutien a été exprimé dans une Déclaration conjointe adoptée à l’issue d’entretiens entre le ministre et des Affaires étrangères de la République de Moldavie, Mihai Popșoi, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, en visite de travail à Chisinau. La République de Moldavie a également exprimé son «plein soutien aux efforts sincères» déployés par le Maroc pour la résolution de la question du Sahara marocain.15-04-2025
L’Estonie réaffirme son soutien au plan d’autonomie comme «bonne base sérieuse et crédible pour une solution convenue entre les parties»
L’Estonie a réaffirmé son soutien au plan d’autonomie, présenté en avril 2007 par le Maroc, pour régler la question du Sahara marocain, qualifiant le plan de «bonne base sérieuse et crédible pour une solution convenue entre les parties», tout «en encourageant les autres gouvernements à rejoindre cette position». Cette annonce a été faite par le ministre des Affaires étrangères estonien, Margus Tsahkna, lors d’une conférence de presse, à l’issue d’entretiens, à Tallinn, avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’Étranger, Nasser Bourita, en visite en Estonie, la première d’un ministre marocain des Affaires étrangères dans ce pays.15-04-2025
La France réaffirme sa position «intangible» de soutien à la souveraineté du Maroc sur le Sahara
Dans un communiqué publié par le Quai d’Orsay, à l’issue de la rencontre entre le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française, Jean-Noël Barrot, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, la France a réaffirmé sa position «intangible» sur la question du Sahara marocain. Le communiqué du Quai d’Orsay réitère, en effet, la position exprimée par le Président Emmanuel Macron à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans sa lettre du 30 juillet 2024, soulignant que «pour la France, le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine», tout en rappelant «l’intangibilité de la position de la France» et son engagement à «agir en cohérence avec cette position à titre national et au niveau international». En outre, le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères a réitéré le soutien «clair et constant au plan d’autonomie sous souveraineté marocaine», comme «seul cadre dans lequel cette question doit être résolue», en soulignant qu’il s’agit de «la seule base» pour aboutir à une solution politique, lit-on dans le communiqué.13-04-2025
Le Sultanat d’Oman soutient l’intégrité territoriale et la souveraineté du Royaume sur l’ensemble de son territoire national et considère l’initiative d’autonomie comme la base de toute solution
Le Sultanat d’Oman a exprimé son soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Royaume du Maroc sur l’ensemble de son territoire national, faisant part de sa profonde considération pour la sagesse du leadership marocain qui s’attache à une solution pacifique au service de la sécurité et de la stabilité dans la région maghrébine. Qualifiant de sérieuse et réaliste l’initiative d’autonomie proposée par le Royaume du Maroc, le Sultanat d’Oman a affirmé qu’elle constituait la base pour le règlement de la question du Sahara marocain. Cette position a été exprimée dans un Communiqué conjoint publié à l’issue des travaux de la 7e Commission mixte maroco-omanaise, co-présidée par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et son homologue omanais, Badr Bin Hamad Bin Hamoud Al Busaidi.08-04-2025
Les États-Unis réaffirment leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes
Les États-Unis ont officiellement reconfirmé leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes, entérinant ainsi la décision historique prise par Donald Trump en décembre 2020. Cette position a été annoncée à Washington par le nouveau secrétaire d’État, Marco Rubio, à l’issue d’un entretien avec Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères. «Les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara», a déclaré Marco Rubio, soulignant que l’initiative marocaine d’autonomie «reste la seule base sérieuse, crédible et réaliste pour une solution juste et durable». La déclaration du haut responsable US évoque par ailleurs «l’urgence de relancer les discussions sur la base de la seule proposition marocaine», consacrant ainsi la continuité de la politique américaine, désormais inscrite dans le marbre.Deux jours plus tard, Lisa Kenna, haute responsable américaine, a assuré que «Le seul cadre réaliste et durable pour résoudre ce conflit est l’autonomie sous souveraineté marocaine». La déclaration de Lisa Kenna, émise lors de sa rencontre avec Staffan de Mistura, envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, enterre définitivement deux décennies d’ambiguïtés diplomatiques américaines sur cette question. Depuis la reconnaissance historique opérée par Donald Trump en décembre 2020, et confirmée implicitement sous Joe Biden, la diplomatie américaine n’a cessé de consolider son soutien au Maroc. Mais cette fois, c’est une étape supplémentaire, décisive, qui est franchie: les États-Unis ne se contentent plus de reconnaître une souveraineté, ils prennent activement parti pour une solution politique claire, celle de l’autonomie sous souveraineté marocaine, jugée réaliste et durable. Cette déclaration n’est pas isolée.
01-03-2025
L’Albanie reconnait l’importance de la question du Sahara pour le Maroc et considère l’Initiative marocaine d’autonomie comme «fondement sérieux et crédible pour résoudre ce différend régional».
L’Albanie considère l’Initiative marocaine d’autonomie «comme fondement sérieux et crédible pour résoudre ce différend régional» autour du Sahara marocain. Cette position a été exprimée dans la Déclaration conjointe signée à Rabat, par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République d’Albanie, Igli Hasani, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. L’Albanie a, par ailleurs, reconnu l’importance de la question du Sahara pour le Maroc, ainsi que les efforts sérieux et crédibles déployés par le Royaume dans le cadre des Nations unies pour parvenir à une solution mutuellement acceptable, lit-on dans cette Déclaration conjointe.07-01-2025