« L’appui au plan marocain d’autonomie pour le Sahara, qui s’ajoute au soutien déjà exprimé par les États-Unis et la France, ouvre la voie à une coopération renforcée entre le Royaume-Uni et le Maroc, notamment dans les domaines diplomatique, militaire et économique», a dit Sir John Chipman. Une telle coopération est encore plus importante dans le contexte de la préparation du Maroc pour l’organisation de la Coupe du monde de football en 2030, a souligné M. Chipman, dont l’institut est considéré comme l’un des plus importants centres de recherche mondiaux spécialisés dans les domaines militaire et sécuritaire.
Dans un communiqué conjoint signé, dimanche dernier à Rabat, par le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, et le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le Royaume-Uni a souligné qu’il considérait le plan d’autonomie comme «la base la plus crédible, viable et pragmatique pour un règlement durable du différend» artificiel autour du Sahara marocain. Le Royaume-Uni a également souligné qu’il «continuera d’agir sur le plan bilatéral, notamment en matière économique, ainsi que sur les plans régional et international, conformément à cette position, afin de soutenir le règlement du différend».
Le communiqué conjoint souligne que «le Royaume-Uni suit de près la dynamique positive actuelle menée à cet égard sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI». Il ajoute que Londres «reconnaît l’importance de la question du Sahara» pour le Maroc, précisant que la résolution de ce différend régional «renforcerait la stabilité de l’Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l’intégration régionale».
Le communiqué conjoint souligne que «le Royaume-Uni suit de près la dynamique positive actuelle menée à cet égard sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI». Il ajoute que Londres «reconnaît l’importance de la question du Sahara» pour le Maroc, précisant que la résolution de ce différend régional «renforcerait la stabilité de l’Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l’intégration régionale».