La violence au sein des établissements scolaires et alentour est aujourd’hui une préoccupation majeure, non seulement pour les autorités éducatives, mais aussi pour la société dans son ensemble. Ce phénomène, qui prend de plus en plus d’ampleur, met en lumière l’impérieuse nécessité d’une action coordonnée et résolue pour garantir la sécurité et le bien-être des élèves, mais également celui des cadres éducatifs. Face à cette réalité inquiétante, des mesures à la fois préventives et répressives ont été mises en place par le gouvernement. C’est ce que souligne le ministre de l’Éducation nationale, Mohammed Saad Berrada, dans une réponse écrite à une question posée par le groupe parlementaire du Mouvement populaire à la Chambre des représentants. Parmi les mesures les plus marquantes figure la signature d’une convention stratégique entre le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Jeunesse et le ministère de l’Intérieur.
Selon M. Berrada, ce partenariat inédit vise à renforcer la coordination et la coopération dans plusieurs domaines clés : la santé et la protection des élèves et du personnel éducatif, mais aussi la sécurité des infrastructures scolaires, grâce à des interventions ciblées contre les actes délictueux et les comportements nuisibles. Cette initiative repose sur une mobilisation active des responsables d’établissements scolaires, des associations de parents d’élèves et des acteurs de la société civile, créant ainsi un effort collectif pour instaurer un environnement scolaire plus sûr.
Dans le but d’assurer une prise en charge efficace des incidents, le ministère a mis en place plusieurs mécanismes de suivi et de contrôle. Cela inclut la création de cellules d’écoute et de médiation destinées à anticiper et résoudre les conflits, tout en veillant à ce que les cas signalés soient transmis aux autorités compétentes ou aux institutions judiciaires. Parallèlement, des mesures administratives sont prises conformément à la législation en vigueur, permettant ainsi une réponse rapide et efficace aux situations de violence, tout en renforçant la confiance au sein des communautés scolaires.
Dans cette dynamique, le ministre a également souligné la collaboration étroite de son département avec la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Les deux parties ont en effet déployé des efforts conjoints pour renforcer la sécurité autour et à l’intérieur des établissements scolaires, tout en supervisant le traitement des comportements déviants. Des patrouilles ont ainsi été instaurées pour garantir cette mission, et les établissements scolaires enregistrant des taux élevés de violence ont été identifiés pour un suivi renforcé par les walis, gouverneurs et chefs de sûreté. Cette synergie entre les différents acteurs témoigne de l’importance accordée à la préservation d’un environnement scolaire sécurisé.
Cependant, malgré l’ampleur de ces efforts, il demeure évident que la lutte contre la violence dans les établissements scolaires du Maroc nécessite une approche globale avec davantage de moyens. Les mesures adoptées par le gouvernement, qu’il s’agisse de conventions interinstitutionnelles ou de dispositifs locaux, témoignent d’une volonté claire de répondre de manière proactive à ce fléau. Néanmoins, la durabilité et l’efficacité de ces actions dépendront de l’implication continue de toutes les parties prenantes, à savoir les parents, les enseignants et la société civile.
Selon M. Berrada, ce partenariat inédit vise à renforcer la coordination et la coopération dans plusieurs domaines clés : la santé et la protection des élèves et du personnel éducatif, mais aussi la sécurité des infrastructures scolaires, grâce à des interventions ciblées contre les actes délictueux et les comportements nuisibles. Cette initiative repose sur une mobilisation active des responsables d’établissements scolaires, des associations de parents d’élèves et des acteurs de la société civile, créant ainsi un effort collectif pour instaurer un environnement scolaire plus sûr.
Dans le but d’assurer une prise en charge efficace des incidents, le ministère a mis en place plusieurs mécanismes de suivi et de contrôle. Cela inclut la création de cellules d’écoute et de médiation destinées à anticiper et résoudre les conflits, tout en veillant à ce que les cas signalés soient transmis aux autorités compétentes ou aux institutions judiciaires. Parallèlement, des mesures administratives sont prises conformément à la législation en vigueur, permettant ainsi une réponse rapide et efficace aux situations de violence, tout en renforçant la confiance au sein des communautés scolaires.
Dans cette dynamique, le ministre a également souligné la collaboration étroite de son département avec la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). Les deux parties ont en effet déployé des efforts conjoints pour renforcer la sécurité autour et à l’intérieur des établissements scolaires, tout en supervisant le traitement des comportements déviants. Des patrouilles ont ainsi été instaurées pour garantir cette mission, et les établissements scolaires enregistrant des taux élevés de violence ont été identifiés pour un suivi renforcé par les walis, gouverneurs et chefs de sûreté. Cette synergie entre les différents acteurs témoigne de l’importance accordée à la préservation d’un environnement scolaire sécurisé.
Cependant, malgré l’ampleur de ces efforts, il demeure évident que la lutte contre la violence dans les établissements scolaires du Maroc nécessite une approche globale avec davantage de moyens. Les mesures adoptées par le gouvernement, qu’il s’agisse de conventions interinstitutionnelles ou de dispositifs locaux, témoignent d’une volonté claire de répondre de manière proactive à ce fléau. Néanmoins, la durabilité et l’efficacité de ces actions dépendront de l’implication continue de toutes les parties prenantes, à savoir les parents, les enseignants et la société civile.