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La future plateforme viendra ainsi réorganiser toute la filière de production des viandes rouges dans cette région. Le projet d’abattoir a été défini dans le cadre du schéma directeur national des infrastructures dédiées à l’abattage élaboré par le département de l’Agriculture en coordination avec l’Intérieur. Ce schéma prévoit la mise en place d’un réseau intégré des abattoirs permettant une couverture globale du territoire national en vue de satisfaire le besoin en viandes rouges et le respect des normes techniques, environnementales et sanitaires.
>>Lire aussi : Berkane : Inauguration du nouvel abattoir provincial d’ne capacité de 5.000 tonnes par an
Rappelons qu’après la fermeture de l’abattoir communal (tuerie) de la ville de Benslimane en 2015, les animaux commercialisés pour l’abattage sont abattus dans l’abattoir situé dans une commune rurale avoisinante et ne répond pas aux normes requises d’hygiène. L’étude à mener devra permettre de confirmer le potentiel et les conditions de faisabilité et de viabilité d’une structure d’abattage agréée pouvant servir tout le périmètre de la commune ou de la province de Benslimane et ses alentours.
L’organisation du futur abattoir devrait impacter positivement plusieurs maillons de l’activité, dont l’amont de la filière (élevage des bovins, ovins, caprins, camelins et équidés), le processus d’abattage (la découpe), l’amélioration de la qualité du stockage, la conservation des viandes et le transport, en plus des aspects liés à l’économie des coûts d’investissement et d’exploitation.
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Rappelons qu’après la fermeture de l’abattoir communal (tuerie) de la ville de Benslimane en 2015, les animaux commercialisés pour l’abattage sont abattus dans l’abattoir situé dans une commune rurale avoisinante et ne répond pas aux normes requises d’hygiène. L’étude à mener devra permettre de confirmer le potentiel et les conditions de faisabilité et de viabilité d’une structure d’abattage agréée pouvant servir tout le périmètre de la commune ou de la province de Benslimane et ses alentours.
L’organisation du futur abattoir devrait impacter positivement plusieurs maillons de l’activité, dont l’amont de la filière (élevage des bovins, ovins, caprins, camelins et équidés), le processus d’abattage (la découpe), l’amélioration de la qualité du stockage, la conservation des viandes et le transport, en plus des aspects liés à l’économie des coûts d’investissement et d’exploitation.
